Toutes les balades à proximité d’Andenne

Cette marche de 7km a été réalisée dans le cadre de la Semaine Numérique 2015. Elle vous propose, en partant du Centre-Ville d’Andenne de découvrir ses sentiers de forêt et petits chemins oubliés. Nous vous conseillons vivement de suivre cette marche avec votre Smartphone car elle emprunte de nombreux petits sentiers difficile à trouver sur une carte.

L’Art nouveau et l’Art Déco font les beaux jours des courants architecturauxdu début du 20ème siècle. À Andenne, n’hésitez pas à lever les yeux : ils sont encore visibles à divers endroits du centre-ville…

Carte d'identité de l'Art nouveau



Époque : début du 20ème siècle

Lignes et formes : courbes et asymétriques

Matériaux : métal, verre, couleurs tendres pastelles

Thèmes : flore, faune et figures féminines



La rue Bertrand abrite quelques beaux exemples de frises à décor floraux et animaux, de vitraux, et de garde-fous en fer forgé (numéros 50, 53, 55, 64, 71 et 74). Dans la rue Rogier, c’est surtout sur les portes des bâtisses que sont visibles les traces de ce mouvement artistique du début du siècle : ainsi, au n°5, le hibou en fer forgé qui orne la porte de l’habitation date de 1926. D’autres exemples incluent le numéro 33.



Dans les bâtiments publics, l’Art nouveau s’exprime entre autres sur l’imposante verrière située dans le hall de l’Hôtel de Ville et dans les fontaines d’Arthur Craco. Deux de ses réalisations sont encore visibles sur votre parcours. La Fontaine aux Chats représente ces animaux (plutôt des chiens d’ailleurs) qui se font face sans se regarder, de peur de s'entre-dévorer : elles symboliseraient le danger que représente l’homme pour lui-même. La Fontaine aux Faisans montre quant à elle des faisans se pavanant et des grenouilles béates, assises sur la margelle du bassin.

Carte d'identité de l'Art déco



Époque : Milieu des années 1920

Lignes et formes : géométriques et symétriques

Matériaux : béton, crépi, cimorné (ciment orné)

Thèmes : Antiquité, Classicisme, Orient



Dans les rues du centre-ville, l’Art déco se manifeste dans la symétrie des façades et les volumes géométrique en crépi de certaines habitations privées : c’est notamment le cas dans la rue Despreetz  (numéros 4, 5 et 11), la rue Provost et la rue Rogier (numéros 29, 31, 33 et 35).



Angelo Hecq est à l’origine de deux monuments Art déco du centre-ville. Tout d’abord, il façonne le Monument aux Morts sur la Place du Chapitre dans les années 1930. La police d’écriture et les figures géométriques employées rappellent le courant artistique qu’il symbolise. C’est aussi à lui que l’on doit la statue de Minerve en grès cérame située dans la cour de l’Athénée. Datée de la fin des années 40, elle a probablement été cuite dans les vastes fours des ateliers andennais.



Par l’archivolte en plein cintre néo-roman de son porche d’entrée, les grandes fenêtres couvrant presque l’entièreté de ses façades et ses croisillons géométrique, la section fondamentale de l’Athénée Royal se démarque elle aussi dans ce style remarquable.



Non loin de là, Le Phare abritait autrefois une piscine Art déco, qui était rattachée à l’École Normale de la Ville. Aujourd’hui, sa transformation en pôle touristique et culturel laisse encore apparaître son bassin et ses couleurs bleu turquoise : une réalisation architecturale unique en Belgique !

Coup de cœur

Avec ses belles ferronneries, ses élégantes fresques et ses couleurs pastels, le n°48 de la Place des Tilleuls est un bijou de l’Art Déco. Bâti en 1907 par Achille Simon, le bâtiment a longtemps abrité l’Office du Tourisme...

Le saviez-vous ?

Le bas de la fontaine aux Chats, orné de couples de serpents, rappelle l’emblème des pharmaciens, le caducée. C’est une référence au commanditaire de l’œuvre, le Pharmacien Masy. Ce dernier hébergea souvent Arthur Craco lors de ses séjours à Andenne. L’artiste, considéré comme l’un des principaux rénovateurs de la céramique en Belgique, profitait de ces passages dans notre ville pour faire cuire une partie de ses œuvres à la poterie Losson.

La route « de la Pierre ou Jean Tousseul »  est un circuit insolite de 135 Km par monts et par vaux et de part et d’autre du sillon mosan, entre Namur et Huy, vantant les richesses économiques de notre région, la pierre, son extraction dans les nombreuses carrières locales et ce qu’en ont fait nos populations en beaux édifices civiles et religieux, en calcaire, grès et marbre.

À Vezin, la Chapelle Sainte-Barbe est nommée ainsi en référence à la patronne des mineurs ; à Sclayn, les restes d’une petite fille néandertalienne ont été mis à jour au Centre archéologique de la grotte Scladina ; à Andenne, les chanoinesses arpentaient le chemin qui mène à la chapelle sommitale du Calvaire lors des Rogations,… dans le centre-ville comme dans les villages du territoire, les éléments patrimoniaux en lien avec les femmes ne manquent pas et abritent des secrets parfois bien gardés : à l'occasion des Journées du Patrimoine 2021, placées sous le thème "Femmes et patrimoine", partez à leur découverte lors d’un circuit libre en voiture !



Départ à partir de l'Office du Tourisme.

Une écriture intrigante au-dessus d’une porte, une légende liée à un lieu, un nom de rue qui interpelle… ; à travers l’origine du nom de quelques-unes de ses rues, cette balade vous dévoile quelques éléments insolites du centre-ville !

Description

Les noms des rues sont rarement choisis au hasard : à Andenne aussi, ils en disent beaucoup sur l’histoire de la Ville !



Ainsi, la rue des 7 églises évoque par exemple la fondation d’Andenne et le monastère bâti en 692 par Begge sur l’actuelle Place du Chapitre. Selon la tradition mérovingienne, il compte 7 sanctuaires (Sainte-Marie Majeure, Saint-Jean-Baptiste, Saint-Pierre, Saint-Michel, Saint-Étienne, Saint-Sauveur et Saint-Lambert) et donne à Andenne son surnom d’Andana ad septem ecclesias, la ville aux 7 églises.



Aux alentours de cette place millénaire, de nombreuses autres éléments du paysage rappellent la fondatrice de la Cité des Ours.



Begge aurait choisi de construire son monastère dans une vallée majestueuse dans laquelle coulait une source toujours fraîche. De là à dire qu’il s’agit de la source alimentant la fontaine Sainte-Begge, longtemps surnommée la fontaine aux Sept Poussins en hommage à la légende liée à la fondation d’Andenne, il n’y a qu’un pas… Après tout, ne dit-on pas que cette eau a une température de 10C° toute l’année ?



Lors de la construction de la Collégiale au 18ème siècle, édifiée avec les pierres des sept anciennes églises, la sépulture de Begge y est transportée. Sa tombe est encore visible aujourd’hui et elle reçoit encore parfois la visite de mamans accompagnées de leurs jeunes bambins. Selon la croyance, placer l’enfant sur la dalle funéraire puis le faire glisser trois fois autour de la colonne située au centre de la dalle le protégerait contre les infirmités de l’enfance.



L’origine du nom de la Maison dite « de Sainte-Begge » (17ème siècle) reste inconnue. Est-ce dû à la statue de la Sainte qui était placée dans la niche de la façade ? A-t-elle été édifiée à un endroit symbolique pour Begge ? Mystère…



Anciennement rue aux Chats, la rue des Chanoinesses est l’une des plus pittoresques du centre-ville, certaines des maisons qui la bordent datent des 17ème et 18ème siècles. Son appellation rappelle que pendant plus de 1000 ans, ce sont des femmes qui ont gouverné la ville ! Cette autorité ne s’est pas toujours exercée sans peine… En 1340 par exemple, lors d’un procès mémorable, les Chanoinesses d’Andenne font pendre sur la Place du Perron un sac de foin sensé symboliser un prisonnier pendu illégalement quelques temps plus tôt par le comte de Namur, histoire de de rappeler qui décide… La Place du Perron porte d’ailleurs son nom en référence au Pairon, qui se tenait à cet endroit au 14ème siècle.



La rue Winand rappelle la faïencerie fondée par les frères du même nom à cet endroit : l’axe qu’elle forme avec la rue Delcourt était l’un des plus fréquentés d’Andenne : il est d’ailleurs pavé pour permettre la circulation rapide des biens et des personnes vers la Place du Chapitre, centre névralgique de la Cité. Le coin des Winand et des Chanoinesses a d’ailleurs été arrondi pour éviter que les attelages n’accrochent les maçonneries.



L’étroite ruelle Maquet, un raccourci bien connu des Andennais doit son nom d’un de ses plus fameux habitants : Lambert J. Maquet, un chirurgien caractériel devenu commissaire du Directoire du canton d’Andenne, sous le régime français à la fin du 18ème siècle.



Jusque 1921, la rue Léon Simon portait le nom de la rue de l’Hôtel de Ville, qui se trouvait à cette époque sur la Place du Perron. Avec son déménagement vers la Place des Tilleuls, elle est renommée pour rendre hommage à un ancien Bourgmestre d’Andenne, en fonction de 1896 à 1903.



C’est un autre Léon Simon qui réalise les plans de l’École Normale dans les années 1930. Les travaux des bâtiments commencent en 1936 et trois ans plus tard, l’établissement scolaire est accessible aux élèves de maternelles, de primaires et aux normaliennes. Le bâtiment comporte des salles de classes et de gymnastique et un bassin Art déco. Bien des Andennais y ont appris à nager, mais le décor d’exception de la piscine lui a aussi valu d’être le témoin de représentations culturelles d’exception : durant l’année scolaire 1967-1968 par exemple, un superbe ballet nautique y a attiré la grande foule ! Aujourd’hui, le bâtiment est toujours accessible au public : il abrite aujourd’hui les institutions culturelles et touristiques du Phare, il attend votre visite !



La rue Brun rend hommage à Félix Brun, Bourgmestre d’Andenne au 19ème siècle. Il s’illustre notamment en faisant construire sur la Place des Tilleuls le bâtiment qui abrite aujourd’hui l’Hôtel de Ville. Entre 1871, date de réception définitive du bâtiment et 1921, lorsque le Conseil communal décide de déménager ses Services du Perron à la Place des Tilleuls, le « Casino » abritait une salle des fêtes, un café et la Justice de Paix...



Au cours de son histoire, la rue du Commerce a abrité finalement abrité de nombreux commerces célèbres comme le café Lambert-Réveillon, la manufacture de tabacs Roland et la pâtisserie Pharailde. On raconte que la frangipane y était tellement renommée que la Reine Elisabeth en personne en fit chercher !



Au détour des rues, les statues que vous croisez ont elles aussi bien des secrets insolites à révéler…



Après de nombreuses années d’incertitude, une comparaison avec d’autres œuvres de l’artiste a enfin pu attribuer le Christ de la chapelle de la rue Janson à Maître Balthazar, sculpteur actif au milieu du 16ème siècle en région liégeoise. L’œuvre aurait même été réalisée entre 1535 et 1540, il y a presque 500 ans !



Après la Révolution française, pour soustraire la statue du « Vieux Bon Dieu du Staple » (fin du 18ème siècle) aux iconoclastes, elle aurait été cachée dans une barrique par un artisan du quartier. Notre compère aurait, sans beaucoup d’égard, coupé les deux bras du Christ pour le faire entrer dans son contenant… Heureusement, il a, par la suite, retrouvé son intégrité physique !



Minerve est la divinité de la sagesse et de l’intelligence : exposer sa statue dans la cour de l’Athénée est un joli clin d’œil aux élèves… !

Coup de cœur

Sur les façades de certaines demeures de la rue Bertrand, des traces de l'Art nouveau sont encore visibles,

parviendrez-vous à les repérer ?

Le saviez-vous ?

La Porte Saint-Etienne, encore visible aujourd’hui à côté de la Collégiale, aurait constitué l’une des quatre entrées du cloître formé par le monastère aux 7 églises !

Les bords de Meuse sont un lieu incontournable d’Andenne pour les amateurs de promenades. En attestent les nombreux itinéraires qui les empruntent, tels que le RAVeL ou Saint-Jacques de Compostelle,… Nous vous proposons d’en parcourir quelques kilomètres, d’Andenne à Sclayn. Profitez-en pour découvrir à quel point la Meuse a impacté et impacte encore aujourd’hui bien des aspects de l’histoire d’Andenne !

Description

Andenne et ses villages sont répartis le long de la Meuse : Andenne, Coutisse, Maizeret, Sclayn et Thon-Samson se trouvent sur la rive droite, tandis que Seilles, Landenne, Vezin et Namêche sont établis sur la rive gauche. Pour relier les deux rives, des ponts ont bien évidemment été construits au cours de l’histoire. Sur votre parcours, vous en rencontrerez deux :



le pont Salvador Allende est un pont routier en arc qui relie Andenne à Seilles ouvert à la circulation depuis 1957. La sculpture de « La Grande Ourse et la Petite Ourse » accueille les passants qui le traversent pour arriver à Seilles depuis le mois de décembre 2003. C’est une œuvre de Louis Noël, le sculpteur de l’œuvre « L’enfant et son ours » qui se trouve également sur votre chemin, sur la Place des Tilleuls.

le pont de Sclayn est mis en service en 1950, pour relier Sclayn à Seilles. Les travaux de sa confection sont confiés à la SA Entreprises Blaton-Aubert de Bruxelles. À l’époque, il s’agit du premier pont en béton précontraint construit en Région wallonne. En 1988, il est restauré et rouvert à la circulation en 1991.



Sur les bords de Meuse, de nombreux paysages font le bonheur des promeneurs. Parmi eux, deux îles se détachent, elles constituent un écrin de nature pour la faune et la flore qu’elles abritent :



l’île de Belgrade fait partie du réseau Natura 2000 et comprend diverses zones protégées ;

le nom de l’ïle Dossay serait quant à lui une analogie avec « île d’oussi » signifiant « île aux oiseaux ».



La Réserve Naturelle de Sclaigneaux longe la rive gauche de la Meuse et ravira elle aussi les amoureux de la nature : site naturel classé de 80 hectares agréé par la Région wallonne, elle est reconnue site exceptionnel d’intérêt biologique et historique. Si vous souhaitez vous y promener à pied, rendez-vous à la page ? de la brochure, nous vous y emmenons !



La Meuse constitue également une zone d’activité économique essentielle dans le développement d’Andenne. Dès le Moyen Âge, sur les bords du fleuve, on exploite ainsi la derle, une terre très plastique : à Andenelle, on a même retrouvé les traces d’un four daté du 11ème siècle ! Vous souhaitez en apprendre plus sur l’exploitation de la céramique à Andenne ? N’hésitez pas à pousser les portes de l’Espace Muséal d’Andenne (EMA) situé dans Le Phare ! Pendant plus de 150 ans, l’industrie papetière fera aussi les beaux jours d’Andenne avec les papeteries Intermills situées le long des bords de Meuse (à l’emplacement de l’actuel site Godin).



Le barrage-écluse d’Andenne-Seilles est quant à lui mis en service en 1980 pour remplacer les anciennes écluses de Sclayn et d’Andenelle. Il est équipé d’un sas de 200m sur 25m et accepte les convois de 9.000 tonnes !



La Cité de la Villette à Sclayn est pour sa part construite à la fin du 19ème siècle par Gustave Dumont, Directeur des usines de Sclaigneaux (traitement des minerais de plomb et de zinc). Il s’agit d’une cité qui était exclusivement réservée aux ouvriers et à leurs familles : elle rassemblait bureaux, maisons, cantine, dispensaire, fournil et école. Chaque maison est construite à l’identique en moellons calcaires et en briques. Tous les toits portaient à l’origine les initiales « GD » en mémoire du fondateur. Certaines d’entre elles sont encore visibles aujourd’hui.



Les éléments patrimoniaux remarquables ne manquent pas non plus le long de la Meuse : les bâtiments qui entourent la Place de Sclayn sont par exemple les témoins privilégiés du riche passé du village : l’Église Saint-Maurice de Sclayn, l'ancien presbytère, le Monument aux Morts,…



Sur votre chemin, deux sculptures remarquables ornent aussi les ronds-points du centre-ville : une œuvre d'art marocaine, offerte par la communauté musulmane à la Ville et le Pot de Jean-Pierre Raynaud, un artiste français de réputation internationale. Cette œuvre d’art contemporain est un cadeau offert à la Ville d’Andenne par Joris Ide, du groupe international du même nom qui est présent au sein des Fonderies Lecomte (Seilles).

Bonne idée

Au barrage d’Andenne-Seilles, arrêtez-vous quelques minutes sur le pont de l’écluse : la vue qu’il offre sur la Meuse est à couper le souffle !

Le saviez-vous ?

L’île de Belgrade doit son nom à un cabaret construit le long du fleuve vers 1710, qui portait l’enseigne « À Belgrade ». Mais pourquoi cette appellation ? Tout simplement parce qu’à cette époque, la capitale serbe était au cœur de l’actualité : elle constituait l’enjeu de la guerre entre les Turcs et les Autrichiens, aux côtés desquels combattaient de nombreux volontaires wallons !

Le territoire d'Andenne compte plus de 250 arbres ou groupes d'arbres remarquables. À l’occasion des Journées du Patrimoine, l’équipe de l’Office du Tourisme invite les visiteurs à en découvrir quelques-uns au travers d'un parcours auto.



Au détour des rues, les attendront aussi de nombreux éléments de patrimoine mis en valeur par ces témoins privilégiés de l'histoire de nos villages : églises Saint-Pierre, chapelles, fermes, potales, parcs et sqaures,...

Le territoire d'Andenne compte plus de 250 arbres ou groupes d'arbres remarquables. À l’occasion des Journées du Patrimoine, l’équipe de l’Office du Tourisme invite les visiteurs à en découvrir quelques-uns au travers d'un parcours auto.



Au détour des rues, les attendront aussi de nombreux éléments de patrimoine mis en valeur par ces témoins privilégiés de l'histoire de nos villages : églises Saint-Pierre, chapelles, fermes, potales, parcs et sqaures,...

Dans le cadre de la 36ème édition des Journées du Patrimoine qui s’adresse tout particulièrement aux publics à besoins spécifiques, l’Office du Tourisme d’Andenne a le plaisir de vous proposer une balade soigneusement conçue pour que chacun puisse bénéficier d’un moment de détente, quel que soit son niveau de mobilité. Signalés sur le plan par un pictogramme, des bancs et des lieux de repos vous permettront régulièrement de vous reposer et de profiter pleinement de la promenade. De plus, des cannes-sièges sont empruntables à l’accueil de l’Office du Tourisme (situé dans Le Phare) le temps de votre balade pour encore plus de confort lors de votre déplacement.

Profitez de vos emplettes pour découvrir la région ! Enfilez vos bottines ou enfourchez votre vélo, adaptez votre tenue selon la météo et c’est parti !

Le potager de Wasseiges, c'est quoi, c'est qui ?
Adriano et Marie-Pierre conjuguent les pratiques agroécologiques et de maraîchage sur sol vivant.
Ils produisent une variété de légumes sains et nourrissants pour le village et ses alentours. Leur activité renforce le tissu social et dynamise l’économie locale en fournissant des produits sains et savoureux.
Ils ont ouvert au printemps 2021 un petit magasin à la ferme où vous pourrez trouver en plus des légumes et quelques fruits produits sur place, d’autres produits alimentaires bio produits le plus localement possible (fruits, épicerie, etc.).

Types de production :
Légumes de saison
Le Bon Melon de Fernelmont

Coordonnées :
Adriano Boremanse
rue du Baron d’Obin 239 • 4219 Wasseiges
0474/74 69 76
potager.wasseiges@gmail.com
www.lepotagerdewasseiges.be
Vendredi de 15h à 18h30 et samedi de 10h à 13h.

Quelques kilomètres dans le centre-ville d’Andenne et un coup d’œil aux curiosités qui le jalonnent nous en apprennent plus sur le riche passé millénaire de la Cité des Ours.

Carte d’identité



Localisation : rive droite

Nombre d’habitants : 10.267

Nom des habitants : Andennais.es



Description

L’Espace Muséal d’Andenne (EMA), abrité dans Le Phare, plonge le visiteur au cœur de l’histoire de notre Ville : un coup d’œil aux résultats des fouilles du Centre archéologique de la grotte Scladina rappelle ainsi la présence de l’homme en ces lieux il y a plus de 100.000 ans avant notre ère, tandis que les collections consacrées à la céramique font honneur à la place prépondérante qu’elle occupe pendant longtemps à Andenne, par son exploitation et les métiers qui en découlent.



Au 8ème siècle, Begge décide de bâtir un monastère aux 7 églises sur la Place du Chapitre : c’est à ce moment que commence véritablement l’histoire de la Cité. Pendant plus de 10 siècles, les Chanoinesses feront autorité sur le bourg d’Andenne ! Les bâtiments auxquels a fait place le monastère n’en sont pas moins remarquables : la Collégiale Sainte-Begge (construite avec les pierres des anciennes églises) et son Trésor (4 – musée inaccessible en 2020), la fontaine du même nom, la Porte Saint-Etienne, la fontaine aux Faisans d’Arthur Craco,…



Comme le laissent deviner l’imposante Maison des Associations et la fontaine qui l’ornent, la Place du Perron a été pendant très longtemps la place principale de la Ville. À l’arrière, la rue Delcourt et ses charmants pavés constituaient à cette époque l’une des artères principales du bourg.



Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi l’Ours était le symbole de notre cité ? La Fontaine du nom de cet animal pourrait vous aider à y voir plus clair : selon la légende, c’est là qu’au 8ème siècle, le jeune Charles Martel aurait tué à mains nues le plantigrade qui terrorisait les habitants…



Andenne a toujours connu une place des Tilleuls. Lorsqu’il s’agissait encore simplement d’une vaste prairie bordée de ces arbres, on la surnommait « promenade des Tilleuls ». Aujourd’hui, on y découvre quelques réalisations architecturales incontournables, telles que l’Hôtel de Ville, le kiosque ou la Porte du Millénaire.



La Promenade des Ours fait partie du nouvel écoquartier du centre-ville. Sa première pierre a été posée à l’automne 2013 : ce projet de quartier durable fait partie d’une réflexion urbanistique globale de redynamisation, qui s’articule en plusieurs phases et se poursuivra dans les années à venir.

Coup de cœur

L’équipe craque pour la Place du Chapitre et ses alentours : maisons typiques, ruelles anciennes, fontaines fleuries… le charme andennais !

Le saviez-vous ?

Le Phare est le nouveau pôle culturel et touristique d’Andenne : il rassemble la Bibliothèque communale, l’Espace Muséal d’Andenne (EMA) et l’Office du Tourisme.

Quelques kilomètres dans le centre-ville d’Andenne et un coup d’œil aux curiosités qui le jalonnent nous en apprennent plus sur le riche passé millénaire de la Cité des Ours.

Carte d’identité



Localisation : rive droite

Nombre d’habitants : 10.267

Nom des habitants : Andennais.es



Description

L’Espace Muséal d’Andenne (EMA), abrité dans Le Phare, plonge le visiteur au cœur de l’histoire de notre Ville : un coup d’œil aux résultats des fouilles du Centre archéologique de la grotte Scladina rappelle ainsi la présence de l’homme en ces lieux il y a plus de 100.000 ans avant notre ère, tandis que les collections consacrées à la céramique font honneur à la place prépondérante qu’elle occupe pendant longtemps à Andenne, par son exploitation et les métiers qui en découlent.



À quelques pas de là, les six potales et la chapelle sommitale du Calvaire témoignent de la fonction religieuse que le lieu revêt lors de sa construction au 17ème siècle. Aujourd’hui, les promeneurs voient leur ascension récompensée par un magnifique panorama sur la vallée de la Meuse !



Au 8ème siècle, Begge décide de bâtir un monastère aux 7 églises sur la Place du Chapitre : c’est à ce moment que commence véritablement l’histoire de la Cité. Pendant plus de 10 siècles, les Chanoinesses feront autorité sur le bourg d’Andenne ! Les bâtiments auxquels a fait place le monastère n’en sont pas moins remarquables : la Collégiale Sainte-Begge (construite avec les pierres des anciennes églises) et son Trésor (4 – musée inaccessible en 2020), la fontaine du même nom, la Porte Saint-Etienne, la fontaine aux Faisans d’Arthur Craco,…



Comme le laissent deviner l’imposante Maison des Associations et la fontaine qui l’ornent, la Place du Perron a été pendant très longtemps la place principale de la Ville. À l’arrière, la rue Delcourt et ses charmants pavés constituaient à cette époque l’une des artères principales du bourg.



Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi l’Ours était le symbole de notre cité ? La Fontaine du nom de cet animal pourrait vous aider à y voir plus clair : selon la légende, c’est là qu’au 8ème siècle, le jeune Charles Martel aurait tué à mains nues le plantigrade qui terrorisait les habitants…



Andenne a toujours connu une place des Tilleuls. Lorsqu’il s’agissait encore simplement d’une vaste prairie bordée de ces arbres, on la surnommait « promenade des Tilleuls ». Aujourd’hui, on y découvre quelques réalisations architecturales incontournables, telles que l’Hôtel de Ville, le kiosque ou la Porte du Millénaire.



La Promenade des Ours fait partie du nouvel écoquartier du centre-ville. Sa première pierre a été posée à l’automne 2013 : ce projet de quartier durable fait partie d’une réflexion urbanistique globale de redynamisation, qui s’articule en plusieurs phases et se poursuivra dans les années à venir.

Coup de cœur

L’équipe craque pour la Place du Chapitre et ses alentours : maisons typiques, ruelles anciennes, fontaines fleuries… le charme andennais !

Le saviez-vous ?

Le Phare est le nouveau pôle culturel et touristique d’Andenne : il rassemble la Bibliothèque communale, l’Espace Muséal d’Andenne (EMA) et l’Office du Tourisme.

Zaman, cet homme unique pour la région !

C’est en 1879 que s’installa la première ligne de chemin de fer privée entre la gare de Noville-Taviers et le village d’Ambresin. C’est le Baron monsieur Joseph Emmanuel Zaman, industriel fortuné installé alors au château de Wasseiges, qui fut à l’origine de l’installation de cette ligne au départ destinée au transport des betteraves. Pour obtenir la concession définitive, l’État belge exigea que, parallèlement au transport des marchandises, le transport des villageois des différents villages traversés soit assuré. Cette obligation créa une dynamique sociale particulière entre les habitants des villages concernés par les 9446 mètres du tracé de la petite ligne.
Aujourd’hui, les petites gares sont toujours en place ; il reste quelques clichés et anecdotes du temps passé qui donnent envie de repartir sur les traces de ce petit train qui parcourait les campagnes et ainsi découvrir la fantastique histoire du train Zaman.

Monsieur Joseph-Emmanuel Zaman

Né le 10 mai 1812, il devint orphelin à l’âge de 14 ans et sera élevé par son oncle, le chevalier François Wyns de Raucourt, qui en fera son légataire universel.
Il épousa la Comtesse Cécile du Monseau de Bergendael en 1840 ; de cette union naquirent 4 enfants.
Maître des carrières de Quenast, industriel connu et respecté, gestionnaire avisé, il sera fait écuyer en 1858 par Léopold Ier et recevra la distinction honorifique de « chevalier de l’Ordre de Léopold » par Léopold II en 1867.
Sénateur de Nivelles de 1857 à 1870, il développera la vingtaine de carrières que sa société rachète au fil des ans, allant jusqu’à employer 1400 ouvriers. En parallèle, il transformera un simple dépôt de matériel roulant en lieu de construction de matériel ferroviaire. Ses locomotives seront primées lors de l’Exposition Universelle de Paris en 1855.
Il arrivera à Wasseiges en 1860 et fera l’acquisition du château et de la ferme attenante, mais également de la ferme du Soleil et d’un moulin à vent. Il devient ainsi propriétaire de plus de 500ha de terres et de bâtiments agricoles. Au sommet de sa gloire, Joseph-Emmanuel est surnommé le « Baron Zaman ».

Pourquoi une ligne de chemin de fer dans notre région ?

Après le développement des carrières et l’acquisition de sociétés ferroviaires, Zaman voit une nouvelle opportunité dans l’exploitation des betteraves sucrières, grâce à ses nouvelles propriétés et ses terres agricoles propices à ce type de culture. Il constitue en mai 1864, avec quelques associés, la société « Zaman & Cie », une association pour la fabrication de sucre. La « sucrerie d’Embresin* » (*orthographié ainsi à l’époque) devient la plus importante et la mieux équipée de la région. Il s’associe également plus tard avec quelques propriétaires de terres à betteraves à la création de la sucrerie de Boneffe.
Mais vu la position géographique des sucreries, l’acheminement des matières premières et des productions se fait par attelage pour rejoindre la ligne de chemin de fer Namur-Tirlemont, en gare de Noville-Taviers. Ce qui freine la rentabilité de l’entreprise. Comme rien n’arrête le baron, il décide donc de créer sa propre ligne de chemin de fer entre Noville-Taviers et Ambresin. Il obtient en 1878 la concession de la construction et de l’exploitation d’une ligne de chemin de fer à voie étroite pour une durée de 40 ans. La ligne du petit train Zaman est née.
Les travaux seront réalisés en un an, et le petit train Zaman fait sa première sortie le 1er septembre 1879. Le coût de la construction de la ligne lui revient à 298.500 francs, ce qui représenterait aujourd’hui la somme de 1.819.118,7 € !

Le quotidien du petit train

Rapidement, ce petit train fait partie du quotidien des habitants. Il n’était donc pas rare d’entendre parler de ses aventures !
Comme cette histoire des arrêts en rase-campagne, entre les stations officielles, qui permettaient aux gens de descendre ou monter. Comme ces contrôleurs qui, assez compréhensifs, laissaient monter les enfants gratuitement.
Ou encore ces libertés prises par rapport aux horaires annoncés : lors de la fête du village de Taviers, un train spécial quittait la localité à 20h30. On sifflait le départ à l’heure dite. Un second rappel se faisait à 20h45, pour les retardataires. Mais finalement, il n’était pas loin de minuit lorsque le départ définitif était sifflé !
A la nouvelle année, le personnel et les voyageurs prolongeaient leurs arrêts pour aller prendre un verre tous ensemble !
Devenu véritable attraction, le petit train Zaman devient but d’excursion, les gens venaient de loin pour l’emprunter. On édite même des cartes postales représentant cette attraction ferroviaire !

Une vie éphémère pour la ligne, la faillite pour son créateur

La concession et l’exploitation de la ligne restera dans la famille Zaman jusqu’à sa fin, en 1917, date à laquelle les Allemands s’emparent de la ligne, la démantèlent et envoient les rails ainsi que le matériel roulant en Allemagne. Le baron Raoul d’Huart, beau-fils de Joseph-Emmanuel Zaman, sera le dernier gestionnaire de cette ligne qui a permis un développement économique et un rayonnement de toute la région.
Zaman, quant à lui, subit de très lourdes pertes lors du krach boursier de 1884. Le baron est ruiné. Obligé de vendre la quasi-totalité de ses biens à près de 72 ans, il se réfugie chez sa fille cadette, Anne, et son gendre, Raoul d’Huart. Il mourra en 1894, à l’âge de 82 ans, et sera inhumé dans la crypte familiale de l’ancien cimetière de Forest.
Dès 1923, la ligne sera remise en ordre pour répondre aux nouvelles techniques d’exploitation par la SNCV (Société Nationale des Chemins de fer Vicinaux). Le pont de Branchon, qui avait survécu, sera démonté cette année-là. Les voyageurs pourront de nouveau emprunter cette ligne secondaire dès 1926. Figurant sous le n°535 dans les indicateurs de la SNCV, elle restera des années durant dans l’esprit des villageois, la ligne du petit train Zaman.

Profitez de vos emplettes pour découvrir la région ! Enfilez vos bottines ou enfourchez votre vélo, adaptez votre tenue selon la météo et c’est parti !

Le potager de Wasseiges, c'est quoi, c'est qui ?
Adriano et Marie-Pierre conjuguent les pratiques agroécologiques et de maraîchage sur sol vivant.
Ils produisent une variété de légumes sains et nourrissants pour le village et ses alentours. Leur activité renforce le tissu social et dynamise l’économie locale en fournissant des produits sains et savoureux.
Ils ont ouvert au printemps 2021 un petit magasin à la ferme où vous pourrez trouver en plus des légumes et quelques fruits produits sur place, d’autres produits alimentaires bio produits le plus localement possible (fruits, épicerie, etc.).

Types de production :
Légumes de saison
Le Bon Melon de Fernelmont

Coordonnées :
Adriano Boremanse
rue du Baron d’Obin 239 • 4219 Wasseiges
0474/74 69 76
potager.wasseiges@gmail.com
www.lepotagerdewasseiges.be
Vendredi de 15h à 18h30 et samedi de 10h à 13h.

Bibliotheca Andana est la bibliothèque virtuelle d’Andenne : elle rassemble en ligne une multitude de documents divers et variés en lien avec l’histoire de la Cité des Ours. Cartes postales, journaux, photos d’archives, courriers,… : près de 170.000 documents issus de collections privées, du Musée, de la Bibliothèque ou des Archives de la Ville d’Andenne sont ainsi consultables en ligne.

Le site dédié à la conservation de la mémoire du territoire fête en 2022 année ses 10 ans d’existence : à cette occasion et dans le cadre des Journées du Patrimoine placées sous le thème de l'innovation et du patrimoine, l’Office du Tourisme vous propose de remonter le temps et d’arpenter les rues du centre-ville armé.e de votre smartphone. Grâce à un circuit documenté et des photos d'époque, apprenez-en plus sur le passé des lieux que vous croisez sur votre chemin.

Depuis des milliers d’années, le cheval est présent dans le quotidien des hommes. Longtemps à l’état sauvage, il a été domestiqué au fil du temps et a été pendant longtemps d’une importance capitale pour les peuples car la maîtrise de cet animal était promesse de victoire lors de combats. Le cheval est un « mode de transport » dès l’Antiquité ainsi qu’une arme de guerre. Dès le Moyen-Âge, la relation entre l’homme et l’animal évolue. À partir du XIIIème siècle, l’élevage se développe pour obtenir le meilleur destrier. L’importance du cheval transparaît également dans les soins très importants qu’on lui apporte. Au fil des siècles, il acquiert une place toute particulière pour l’homme.
Nous vous proposons de découvrir, en toute simplicité, quelques moments d’histoire de notre région accompagnée de quelques mots sur l’évolution du cheval dans notre société. Nous vous souhaitons de prendre autant de plaisir que nous à la parcourir, tout en vous informant davantage sur les paysages que vous allez traverser.

L’agriculture dans notre région au fil du temps.
La Hesbaye, par son sol très fertile, a connu depuis bien longtemps une activité humaine : pour la chasse, la cueillette et la pêche, puis l’agriculture et l’élevage. On parle de premières traces d’occupation dans la période paléolithique déjà.
Au début de la Préhistoire, il s’agit d’hommes de passage installés dans les grottes, puis dans des abris de plein air de plus en plus construits. La région, à cette époque, était constituée de grandes forêts.
L’homme devient sédentaire et s’approprie la terre dès le néolithique, domestique les animaux, crée des communautés. Il développe dans la région la fabrication de la céramique. Une véritable industrie d’extraction de silex a été découverte dans la vallée de la Mehaigne. Grâce aux fouilles archéologiques, on sait que les hommes présents en Hesbaye il y a 4000 ans travaillaient le bois et les métaux ; qu’ils utilisaient l’araire (charrue simple) ; récoltaient du blé, de l’orge, du seigle, du millet et de l’avoine ; qu’ils avaient déjà domestiqué le chien, la chèvre, le mouton, le cheval et qu’ils élevaient canards, oies et autres gallinacés.
La vocation agricole de la région se précise et se développe au fil des siècles et cette richesse de sol attirer les convoitises, provoque de nombreuses rivalités mais aussi de véritables guerres. Dès le Moyen-Âge, l’augmentation de la population et l’augmentation de ses besoins poussent au défrichement et à l’augmentation des zones agricoles.
La Hesbaye sera ainsi de plus en plus occupée, organisée, défrichée, cultivée, malmenée selon les événements tant religieux que politiques, jusqu’à obtenir les paysages que nous avons aujourd’hui sous nos yeux.

Le cheval au Moyen-Âge tardif (XIVème-XVIème siècle) :
Les chevaux sont au départ très peu utilisés pour le transport des marchandises et l’agriculture, on préfère durant longtemps des animaux moins nobles mais aussi moins fragiles tels que l’âne ou le mulet et par après les bœufs. Mais le cheval s’avère être plus rentable car il travaille la terre plus vite et les besoins alimentaires augmentent en parallèle de la population. Dans le milieu agricole également, grâce au développement des technologies, le cheval prend tout doucement sa place et ce, malgré son prix 2 à 4 fois plus élevé. Les chevaux resteront utilisés jusqu’à l’arrivée des machines agricoles et leur développement du XX° siècle.

Balade balisée équestre n°1 - balise: arc de cercle orange



Cette balade de 22km débute dans le hameau de Groynne et vous emmène à la découverte des bois autour de Coutisse et d’Andenne. Vous commencez votre parcours dans les campagnes, sur une portion du GR575. Profitez-en, il s’agit d’un des plus beaux chemins de l’entité ! Vous traversez ensuite prudemment la Chaussée de Ciney avant de rejoindre le Bois d’Heer en direction de Coutisse. En chemin, vous apercevez la belle Ferme de Leumont, le lieu-dit Grande Croix et son ancienne ferme. Vous arrivez alors à Coutisse, vous poursuivez par les petites rues jusqu’au lieu-dit Les Vieux-Tauves. Vous traversez avec prudence la chaussée pour atteindre le hameau de Treton. Vous poursuivez ensuite vers le Bois des Arches. N’hésitez pas à faire un petit détour par la charmante Ferme des Arches Royales. Vous parvenez au hameau de Grosse et à sa majestueuse Ferme puis au Bois de Paspau. Une nouvelle traversée de la chaussée vous ramène au Bois d’Heer où vous découvrez cette fois le pittoresque Moulin de Kevret. La balade se poursuit vers les lieux-dits Hautebise, Chawagne et Grande France. Attention, la dernière portion du chemin est étroite (il est possible de contourner par le sentier aux Fraises et la Rue Hermoncroix). Vous arrivez au magnifique point de vue du Calvaire, un ancien chemin de procession qui vous ramène par les petites rues dans le centre-ville. Derrière l’Andenne Arena, vous traversez un lieu-dit étonnant, le Fond du Chenal. Attention, votre chemin se rétrécit sur une longueur de 1m50, au niveau d’un petit pont (il est possible de contourner par la Rue Sous-Stud). Vous grimpez alors dans le Bois de Stud où vous rejoignez le Golf d’Andenne. Vous terminez votre tour par les petites rues pour regagner votre point de départ !