Promenades




























































Le grand tour d’Andenne : Fermes, châteaux et églises romanes
En moto ou voiture, nous vous invitons à découvrir ou à redécouvrir notre région au passé prestigieux,
nos églises romanes, fermes et châteaux qui jalonnent nos campagnes, témoins prestigieux de l’époque féodale.





Point de départ
5300 Andenne

Sainte Begge, trisaïeule de Charlemagne, devenue veuve, fonda à Andenne, vers 692, une abbaye mérovingienne comportant, outre deux quartiers distincts, sept églises et créa la communauté des chanoinesses, qui régnèrent sur le ban dAndenne pendant plus de 1000 ans. Au 11 e siècle le monastère se transforma en un Chapitre séculier. Le pouvoir laïc imposa le recrutement dans la noblesse. Ainsi le monastère primitif devint-il un Chapitre Noble à prédominance féminine. En 1762, les sept églises étaient en très mauvais état. Le Chapitre obtint lautorisation de lImpératrice Marie-Thérèse dAutriche de les remplacer par un seul sanctuaire. Il chargea Laurent-Benoît Dewez, architecte officiel du gouverneur Charles de Lorraine, de dresser les plans dune nouvelle collégiale, néoclassique.On découvre dans celle-ci le tombeau de la sainte du 12 e siècle, un lutrin au griffon (dinanderie de 1510 - classé avec la qualification de trésor par un arrêté ministériel du 16 janvier 2012) , les stalles du 17 e siècle, les confessionnaux et chaire de vérité du 18 e siècle, des tableaux des 17 e et 18 e siècle dont le Massacre des Innocents (1615) de Finsonius de Bruges.En venant sur place, vous découvrirez le mode de vie de ces femmes, leur histoire, et lévolution du monastère. Vous aurez loccasion dentendre le conservateur de la collégiale, monsieur Jean Sacré, qui vous parlera de ce mode de vie.Dans le Trésor et Musée situés dans les 12 salles annexes, sont exposés des textiles, sculptures, manuscrits, imprimés, monuments funéraires, de lorfèvrerie du 16 e au 20 e siècle dont la châsse renaissance de Sainte Begge ainsi que des porcelaines religieuses dAndenne.Découvrez la Collégiale en 3D ! La collégiale fait partie du réseau des églises ouvertes, consulter la page qui lui est consacrée !

Arthur Craco (1869-1955), est l’un des principaux rénovateurs de l’art céramique en Belgique. Il était, dit-on, farouchement déterminé à lui faire une place majeure au sein des arts décoratifs. C’est à Andenne, après la Première Guerre mondiale, qu’il découvre la « derle » (argile blanche), qui est pour lui une révélation et l’attache à notre ville pendant plus de vingt ans.
La Fontaine aux Chats, située Avenue Reine Élisabeth, au niveau du square des Quatre Coins, est l’une des oeuvres majeures de l’artiste.
Cette fontaine se compose de 3 bassins dont le pourtour est décoré de chats qui s’observent.
Au centre de l’oeuvre, des colonnes supportent un entablement orné de six autres chats représentés la gueule ouverte cette fois. Le tout est surmonté d’un denrier couple de félins longilignes qui se font face et dont les têtes se croisent.
Plusieurs interprétations sont proposées pour cette oeuvre assez mystérieuse. La plus répandue est la suivante : la Fontaine aux Chats incarne la maxime « l’homme est un loup pour l’homme ». Autrement dit, il n’y a pas pire ennemi que son semblable. Ainsi, les nombreux couples de chats représentés face à face, gueules ouvertes, se regardent et manifestent leur crainte de s’entre-dévorer.
Cette Fontaine aux Chats a la particularité d’avoir été commandée par le pharmacien Masy chez qui Craco était hébergé lors de ses séjours à Andenne. Vous pourrez d’ailleurs observer sur la face des bassins le caducée, emblème des pharmaciens.
Si vous le souhaitez, vous pouvez admirer une autre fontaine de l’artiste à Andenne : la Fontaine aux Faisans située sur la Place du Chapitre.

L’Enfant et l’Ours est une œuvre de Louis Noël, l’artiste qui a également réalisé la sculpture de La Grande Ourse et la Petite Ourse située sur le rond-point de la gare à Seilles. L’enfant et son ours sont installés à côté du kiosque de la Place des Tilleuls depuis 2006.
Clin d’œil de l’artiste, l’oeuvre porte la mention : Caressez l’ourson et faites un voeux… Essayez, qui sait …

Située au carrefour dit « des quatre coins », sur lavenue Reine Elisabeth, la fontaine des Chats fut commandée par le pharmacien Masy chez qui Craco fut hébergé lors de ses séjours à Andenne. Les chats (qui sont plutôt des chiens) face à face, gueules ouvertes, nosent se toiser, de crainte de sentre-dévorer.Ces figures symboliseraient lhomme qui est un loup pour lhomme. Le bas de la fontaine est dailleurs orné de couples de serpents enroulés chacun autour dune coupe y crachant leur venin, ce qui rappelle le caducée (emblème) des pharmaciens. Les trois bassins sur lesquels des chats squelettiques se font face sont surmontés de six colonnes. Sur ces colonnes, un socle est encore orné de quatre couples de chats ouvrant leur gueule dont un trône sur le dessus de la fontaine.Une uvre d'Arthur CRACO.

Cette fontaine remarquable d'Arthur CRACO (1869-1955) est située sur la place du Chapitre à droite de la Collégiale. Des faisans se pavanent au haut de la fontaine. En contrebas, sur le bord de lunique bassin, des grenouilles les contemplent, béates, en croassant.Implantée dans l'entre-deux-guerres, elle fut démontée en 2004 pour d'importants travaux de rénovation. Plusieurs artisans (Bob Mordant, Serge Mossoux et Christian Van Parys) en collaboration avec les services techniques communaux, ont mis tout en uvre pour que la fontaine puisse à nouveau être opérationnelle pour la 13ième édition de la Biennale de la Céramique en 2012.

La Porte du Millénaire est une œuvre de Félix Roulin. Elle est installée sur la Place des Tilleuls depuis octobre 2001.
Sa réalisation a nécessité de nombreux mois de travail. Il s’agit, en effet, d’une sculpture d’envergure puisqu’elle mesure 4,30 mètres de haut et pèse plus de 16 tonnes !
Elle est composée de matériaux du pays dont les pierres calcaires issues des carrières de Gore à Sclayn (actuellement carrières de la Région wallonne).
Marque de fabrique de l’artiste, on peut y admirer vingt-quatre figures féminines en bronze intégrées dans la structure de la porte.

Située sur la place du Perron, la fontaine que vous pouvez voir est la troisième du nom. La première fut construite en 1764. Elle était formée de huit bassins en pierre, placés sur deux rangs. Il y avait trois marches entre chaque bassin. Mais cette fontaine, trop rapprochée des maisons, incommodait le voisinage.Erigée principalement pour subvenir aux besoins en eau des habitants et pour éteindre les incendies, elle fut démolie au début de la seconde moitié du 19 e siècle. Une nouvelle fontaine fut érigée en 1860. Cette nouvelle fontaine était dressée à bonne distance des habitations, mais en 1909, de nouvelles plaintes, pour cause dinondations de caves cette fois-ci, se firent entendre et elle fut démolie à coup de pioches et de marteaux.Ces débris servirent pour nos chemins vicinaux. Aujourdhui, une fontaine plus récente et beaucoup plus petite orne la place. Elle a été créée et fondue par Guy Forthomme, fondeur à Andenne, et a été inaugurée le 20 juin 1992 à loccasion du 1300e anniversaire de la ville.

Le Musée et Trésor est situé en la Collégiale Sainte-Begge (1764-1778), chef d’oeuvre religieux néoclassique de l’architecte L-B Dewez (1731-1812).
Dans les sacristies et annexes (12 salles), vous pourrez admirer de multiples richesses : orfèvreries, châsse renaissance de Sainte-Begge, objets de culte, lutrin griffon du 16ème siècle (classé avec la qualification de trésor par un arrêté ministériel du 16 janvier 2012), ornements, peintures, pierres tombales, porcelaines d’Andenne, sculptures, manuscrits, imprimés du 15ème au 20ème siècles.
Informations pratiques
Horaires
En mai, juin et septembre : ouverture le 1er et 3ème dimanche du mois, visites thématiques à 14h.
Du 1er juillet au 15 août : ouverture le dimanche, visites thématiques à 14h.
Pour les groupes (à partir de 15 pers.) : ouverture toute l’année mais uniquement sur réservation 1 mois au préalable
Tarifs :
4€ par personne de plus de 18 ans
3€ par personne en groupe (plus de 15 personnes)
Réservation auprès du Trésor des Dames collégiale Sainte-Begge Andenne, en la personne de Monsieur Jean Sacré

Jules Ghislain Denis Camus est un enfant de notre cité, né le 9 octobre 1850, fils de Florence Guisline Charlotte Camus. Dans l’état actuel de nos connaissances, on ne peut que conjecturer mais, sans trop se forcer, on peut imaginer que Jules Camus eut un caractère bien trempé dès le plus jeune âge.
Il se maria à Liège le 9 septembre 1876 avec Florence Chantraine, une fille de meunier quil avait peut-être rencontrée lors de ses études de médecin, probablement à l’Université de Liège.
Le couple s’installa rapidement à Andenne compte tenu que Jules Camus devint médecin de divers établissements charitables dès 1876 (Gesves 1876-1879, Andenne 1878-1902, Seilles 1878-1895, Sclayn 1900), de la Cie des Chemins de Fer du Nord belge en 1879 et de la Gendarmerie en 1887, pour ne citer que les principaux.
Bref, un homme engagé dans son métier à un point tel que le Secrétaire communal, A. Pirsoul écrivait en février 1907 pour l’obtention de la croix civique de 1ère classe : « Jules Camus a donné des soins constants et on ne plus dévoués, au péril de sa vie, au cours des épidémies de variole, de typhus, de diphtérie et de choléra qui ont éclaté dans le canton d’Andenne de 1876 à 1906 … c’est grâce au rare dévouement de ce praticien auprès de ses malades que presque tous ont pu échapper à la mort … »
Rien d’étonnant qu’avec une telle expérience de vie, Jules Camus entre en politique comme en sacerdoce et quil est considéré comme une personnalité de premier plan, dominant la scène politique pendant un quart de siècle.
D’un caractère entier, ne supportant aucune contradiction, Jules Camus était un rude jouteur, ce qui lui valut de féroces inimitiés. Il devra donc assumer longtemps un rôle d’échevin tout en régnant en maître au Conseil et au Collège communal, dirigeant à son gré les affaires de la commune.
Le 15 octobre 1911 se déroulèrent les dernières élections avant la guerre.Ces élections furent à la mesure du personnage, se résumant en une lutte entre Camusards et Anticamusards. La liste de Jules Camus fut largement plébiscitée ce qui obligea « enfin » le Gouvernement à lui accorder le titre de Bourgmestre par arrêté du 10 juillet 1912.
Cette consécration fut de courte durée car cétait sans compter sur la violation de la neutralité de notre pays par larmée allemande le 4 août 1914 et larrivée des premiers soldats allemands dans notre ville le 19 août 1914. Fidèle à lui-même, c’est toujours en donnant de sa personne sans compter qu’il perdit la vie le 20 août 1914. Il habitait rue Brun et venait dêtre blessé à la jambe et cest en se rendant chez le pharmacien Guilitte, aux Quatre Coins, pour se faire panser, qu’il fut tué par les allemands. Son corps fut inhumé au Cimetière des Fusillés avec bon nombre de ses compatriotes qui vécurent le même tragique destin.
Comme le disait si bien le Dr Melin en conclusion de son livre, « … il a gravé dans l’histoire d’Andenne l’impérissable souvenir de la brillante intelligence, de l’inlassable activité et de l’indomptable énergie qu’il apporta dans l’administration des affaires communales et qui le firent contribuer si largement à l’embellissement de sa ville natale. Sa fin douloureuse symbolisera le martyre de la cité d’Andenne. »
Il est et restera, pour nous et les générations futures, un exemple !
Contact Email: tourisme@ac.andenne.be

La source Sainte-Begge a toujours existé. Le monument qui la surmonte date du 17 e siècle. Anciennement appelée « fontaine aux Poussins », rappelant la légende de sainte Begge, elle est située sur la place du Chapitre à gauche de la Collégiale près de la porte Saint-Étienne.Au dessus de la fontaine, on peut voir une niche grillagée dans laquelle trône une statue de la sainte patronne. Cette fontaine est composée de plusieurs bassins usés et érodés par leau et le frottement des lavandières qui, notamment, traversaient la Collégiale avec leurs chiens pour sy rendre.On peut dailleurs apercevoir une épitaphe au-dessus de lentrée droite de la Collégiale qui dit : « LES CHIENS HORS DE LA MAISON DE DIEU ». Pour la petite anecdote, à une époque, un garde était posté à cette entrée pour obliger ces dames à faire le tour.Elle fournissait le monastère en eau, mais également les manants des environs.

« La Porte du Millénaire » est une oeuvre de Félix Roulin. Elle fut installée sur la place des Tilleuls, à Andenne en octobre 2001. La réalisation de cette sculpture a nécessité de nombreux mois de préparation. Il sagit en effet dune sculpture denvergure dune hauteur de 4,30 mètres et dun poids qui dépasse les 16 tonnes. Elle est composée de matériaux du pays dont les pierres calcaires issues des carrières de Gore à Sclayn. Vingt quatre figures de bronze ont été coulées par Félix ROULIN afin dêtre intégrées dans cette porte. Lacquisition de cette uvre fut adoptée par le Conseil communal dAndenne le 17 novembre 2000.

« Livre Accès » à Andenne : Boites à livres, micro-bibliothèques,’
la lecture et les livres en libre accès à Andenne et dans ses villages
Ce samedi 5 mai 2018, la Ville d’Andenne a inauguré une des 16 boites à livres installées sur le territoire andennais. Cette initiative s’inscrit dans une opération dénommée « Livre Accès » qui comporte deux volets. Voir l’album photo de cette inauguration
Les Boites à Livres
Dans le prolongement des réflexions et rencontres citoyennes menées par le PCDR et GAL meuse@campagnes, l’Echevinat de la Culture et l’équipe de la Bibliothèque d’Andenne inaugurent ce 5 mai une des 25 boites à livres désormais implantées sur le territoire d’Andenne.
16 boites à livres communales viennent s’ajouter aux 9 boites à livres que des groupes de citoyens avaient déjà installées dans leur quartier.
La fabrication de ces boites est le résultat d’une collaboration fructueuse entre les services techniques communaux, le Fab Lab d’Andenne, Your Lab et la Régie des Quartiers qui ont uni leur savoir-faire pour un résultat qui allie les techniques de menuiserie, peinture, assemblage et gravure sur plaque.
Cette initiative financée par la Ville d’Andenne est également soutenue par la Province de Namur.
Les habitants sont donc invités à prendre un livre, en apporter ou les échanger.
La Bibliothèque communale, dans le cadre de l’élaboration de ce projet, a lancé un appel aux citoyens sensibles à cette initiative et chaque boite est parrainée par un.e voisin.e ou habitant.e du quartier qui prendra soin de cette boite en veillant au réapprovisionnement si besoin et suivi auprès de la Bibliothèque si un problème devait se poser.
Au vu de l’engouement à l’annonce de leur implantation, il est néanmoins fort à parier que ces boites seront respectées et surtout bien utilisées !
Localisation des boîtes à livres
ANDENNE
Rue Frère-Orban,60 ‘Bibliothèque
Rue de l’Hôpital – « Jardin des Rencontres » Home La Quiétude
rue Malevé – Parc Dieudonné
Site du Bois des Dames, 35/1 (Régie des Quartiers)+++
Place Tombu – Andenelle
Rue de Perwez 48 – Mr et Mme Noël-Rosar
SEILLES
Rue de la Résistance, 41 – Maison de la Convivialité
Rue de la Station, 47b – Gare
Rue de la Houssaie, 78 – Chapelle
Rue Poilsart 6 – Mme Chasseur Vanessa (Ilka Coiffure)
VEZIN
Domaine du Bois Gilet
école communale rue de Sclaigneaux, 654+++
LANDENNE
Rue de l’Eglise St Remi (Eglise)
rue de Troka, 480a Mme Lecomte
PETIT-WARÊT
Place F.Moinil, 280/1 – RDC résidence Amaryllis – Mr André Hérion
NAMECHE
Rue Sous-Meuse (école communale)
BONNEVILLE
Rue des Cailloux, 174 (école communale)
Rue Bruyère, 104 +++
Groynne – rue du Puits 1 – Mme Patricia Charles
MAIZERET
rue de Villenval – Eglise
SCLAYN
rue des Combattants ‘ place de l’Eglise
THON
Rue de Gramptinne – entrée de la rue côté Namêche
Rue de Thon, 16 – Mr Horemans
COUTISSE
rue de l’Hospice, 130 – Mme Anne Sadzot
École communale rue Vieux Tauves, 89B +++
En italique, les boites à l’initiative d’habitants
Voir les emplacements sur une carte
La Charte des Boites à Livres
Échangez, donnez, prenez, partagez le livre qui vous plait : c’est gratuit !
Tous les livres sont les bienvenus: pour les grands et les petits, en français ou dans une autre langue tant qu’ils sont en suffisamment bon état pour être lus.
Merci de ne rien déposer en dehors de la boite !
N’oubliez pas que les livres sont mis à disposition de tous, enfants et adultes: n’y déposez pas des livres réservés à un public averti !
« Livre Accès » est fondé sur le civisme et le partage : prenez-en soin !
Les Micro-bibliothèques
L’implantation des boites à livres sur le territoire d’Andenne s’accompagne d’une autre initiative de lecture publique à l’intérieur de plusieurs lieux publics d’Andenne.
Dans plusieurs lieux fréquentés par les citoyens andennais, des mini-bibliothèques viennent d’être installées et mettront à disposition des visiteurs et des salles d’attente des livres à consulter et à emporter.
Dans cet esprit, la Ville d’Andenne a fait l’acquisition auprès de l’asbl ZA de 4.000 ouvrages de récupération issus des collectes de la Ressourcerie Namuroise.
Les premiers lieux qui accueillent ces micro-bibliothèques sont:
La salle d’attente du service Population à la Maison du Citoyen ;
Le hall d’entrée de l’Andenne Arena
La Maison des Solidarités ‘ rue de la Papeterie
Hall d’accueil du Centre Culturel
Ces livres sont à emporter et ne doivent pas être ramenés. L’objectif est non seulement culturel mais aussi environnemental avec la notion de réemploi et d’éco-consommation.
Gratuit
Contact Téléphone: 085/84.64.44
Email: biblio@ac.andenne.be

L’accès à l’eau a, de tout temps, été au cœur des préoccupations des habitants des centres-villes.
À Andenne, notamment pour raccourcir les trajets des secours qui devaient auparavant se rendre jusqu’à la Fontaine de l’Ours en cas d’incendie, il est décidé de construire une première fontaine dite du « Pairon ». Elle est construite en 1764. Son emplacement exact reste incertain, mais on sait qu’elle était formée de huit bassins en pierre, placés sur deux rangs.
La deuxième fontaine est édifiée en 1859 pour remplacer la première. Sa construction a coûté 9000 francs, une somme colossale pour l’époque ! Cette seconde construction est démolie en 1909 suite aux plaintes des riverains qui dénoncent les fréquentes inondations dans leurs caves. La suppression de la fontaine s’explique aussi par l’installation progressive de l’eau courante dans les maisons.
La Place du Perron connaît alors presque 100 ans sans fontaine…
Il faut attendre 1992, et les célébrations du 1300ème anniversaire de la ville, pour voir la construction d’une troisième fontaine au Perron. Cette dernière, œuvre de Guy Fortomme, rappelle en modèle réduit la forme de ses aïeules.

Situé dans le centre-ville, à deux pas du site commercial « Godin », le Parc Dieudonné est un espace vert dans lequel une attention particulière a été portée aux Seniors et PMR ( rabaissement des bordures à certains endroits, rampes PMR, du mobilier urbain et des modules de sports adaptés aux Seniors).Neuf modules de jeux et psychomotricité sont en place : pour des positions assises ou debout, pour des mouvements destinés à renforcer jambes, bras et épaules.Une table de pique-nique et une table pour des jeux déchec et de dames viennent compléter ces aménagements qui datent de 2013.

L’histoire d’Andenne commence véritablement vers 692, lorsque Sainte Begge, aïeule de Charlemagne, fonde un monastère mérovingien comportant sept églises à l’emplacement de l’actuelle Place du Chapitre. Au 11ème siècle, le monastère se transforme en un Chapitre séculier. Ainsi le monastère primitif devient un Chapitre Noble à prédominance féminine. En 1762, les sept églises étaient dans un tel état de délabrement que l’Impératrice Marie-Thérèse d’Autriche décide de les raser et de les remplacer par un seul sanctuaire. C’est Laurent-Benoît Dewez, architecte officiel de Charles de Lorraine, qui est chargé de dresser les plans d’une collégiale néoclassique. La première pierre est posée en 1764. Le plan du bâtiment comprend trois nefs de cinq travées, un haut transept saillant terminé par des absides à trois pans et un choeur de trois travées à chevet polygonal. Au chevet, on trouve l’élément le plus caractéristique de la collégiale andennaise : sa grande tour carrée divisée en quatre niveaux, percée sur chaque face d’une grande ouïe en plein cintre et coiffée d’une toiture en cloche.
La façade comporte deux niveaux : le rez-de-chaussée d’ordre ionique et le premier étage d’ordre corinthien encadré par les balustrades. Le tout est ponctué de nombreuses niches et percé de fenêtres.
Au sommet, un large fronton triangulaire mouluré vient terminer la composition de la façade.
L’intérieur de la collégiale est de style Louis XVI, peint en blanc, éclairé par les fenêtres en plein cintre des collatéraux, du transept et du choeur. Dans le vaisseau, vous remarquerez les arcades en plein cintre, les piliers cantonnés de pilastres à chapiteaux composites, l’entablement mouluré qui sépare les étages, les voûtes d’arêtes dans les collatéraux et la fausse coupole à la croisée du transept.
Plusieurs éléments de mobilier liturgique ancien ont été conservés: un lutrin au griffon du 16ème siècle, des stalles du 17ème siècle, des confessionnaux et une chaire de vérité du 18ème siècle ainsi que des tableaux des 17ème et 18ème siècles dont Le Massacre des Innocents de Finsonius de Bruges (1615).
Au Musée et Trésor de la collégiale sont exposés orfèvreries, textiles, sculptures, peintures, manuscrits et monuments funéraires, héritage de siècles de piété et de dévotion et témoins de la puissance de l’abbaye. Une pièce d’exception : la châsse renaissance de Sainte Begge.
Le saviez-vous ?
Dans une absidiole, à gauche de l’autel majeur, ne manquez pas le célèbre tombeau de Sainte-Begge. Ce tombeau est orné de figurines gothiques du 14ème siècle. Très rapidement après la mort de Begge, sa sépulture devient un lieu de pèlerinage très fréquenté. La Sainte est spécialement invoquée pour la guérison des hernies et de diverses infirmités de l’enfance. Près de son tombeau, les mères avaient l’habitude de déposer leurs jeunes enfants sur la dalle funéraire avant de les faire glisser trois fois autour de la croix pour les guérir de leurs maux. Aujourd’hui, le rite a quelque peu changé, mais la dévotion à la Sainte reste intacte. En témoigne, l’habitude de déposer les chaussures des jeunes enfants près du tombeau pour qu’ils apprennent à marcher plus rapidement.
Classement : La collégiale Sainte-Begge est classée depuis le 22 février 1938.
La collégiale Sainte-Begge est membre du réseau Églises Ouvertes, l’édifice est donc ouvert toute l’année de 9h à 18h. Merci de veiller à ne pas perturber les offices religieux lors de vos visites.
Consultez la page qui lui est consacrée !

Le Pot est une oeuvre de Jean-Pierre Raynaud, artiste français de réputation internationale. Cette 'uvre d'art contemporain est un cadeau offert à la Ville d'Andenne par Joris Ide, du groupe international du même nom qui est présent au sein des Fonderies Lecomte (Seilles). Cette 'uvre de 4 mètres de haut est en acier corten. Des 'uvres similaires de l'artiste ont été d'ailleurs exposées dans des endroits prestigieux tels que le Musée national d'Art moderne de Paris ou la Piazza de Beaubourg.Le Pot sit sur le rondpoint de la Rue du Pont

Le Musée de la céramique est installé dans une maison notariale du 19e. Différentes collections y sont présentées : une série doeuvres dArthur Craco, artiste original ; la collection privée Godard, qui permet de voir lévolution de la faïence et de la porcelaine ; la salle réservée aux pipes en terre, très célèbres dans le monde entier pour leur originalité.On y retrouve également des uvres en grès cérame dartistes andennais actifs durant lentre-deux-guerres. Citons, entre autres, les créations dinspiration africaniste dHenri Javaux et celles de tendance futuriste signées par Léon Philippot.Deux salles sont consacrées partiellement à lArt nouveau. Vous pourrez y admirer un meuble marqueté fabriqué par le célèbre ébéniste français, Louis Majorelle ainsi que plus de 100 uvres dArthur CRACO (1869-1955), artiste céramiste qui travailla au renouveau de la céramique à Andenne durant lentre-deux-guerres.Le musée organise par ailleurs environ quatre expositions exceptionnelles par an, sur différentes thématiques et pour tout public.La Biennale de la CéramiqueToutes les années impaires, le dimanche et le lundi de la Pentecôte, la Ville dAndenne se voit envahie par les amoureux de la céramique venus dans le but de découvrir un espace dexposition qui met à lhonneur la création de la céramique contemporaine.Cet évènement regroupe des artistes du monde entier tout au long dun splendide marché de potiers installé place du Chapitre, au pied de la collégiale.La Biennale de la Céramique est également un programme de conférences et danimations et de découvertes dans le grand Andenne. Un agréable weekend de partage en perspective. Lun des organisateurs nous parle de cette manifestation.

Arthur Craco (1869-1955) est l’un des principaux rénovateurs de l’art céramique en Belgique. Il était, dit-on, farouchement déterminé à lui faire une place majeure au sein des arts décoratifs. C’est à Andenne, après la Première Guerre mondiale, qu’il découvre la « derle » (argile blanche), qui est pour lui une révélation et l’attache à notre ville pendant plus de vingt ans.
La Fontaine aux Faisans, située sur la Place du Chapitre à droite de la collégiale, est l’une des oeuvres majeures de l’artiste.
Elle a été restaurée en 2012, à l’occasion d’une édition de la Biénnale de la Céramique (ancien nom de Ceramic Art Andenne).
Au centre de cette fontaine, au sommet d’une colonne, vous observerez des faisans qui se pavanent, tandis qu’en contrebas, sur le bord de l’unique bassin, des grenouilles les contemplent, coassantes et béates.
Si vous le souhaitez, vous pouvez admirer une autre fontaine de l’artiste à Andenne : la Fontaine aux Chats. Elle est située Avenue Reine Élisabeth, au niveau du square des Quatre Coins.

Jules Ghislain Denis Camus est un enfant de notre cité, né le 9 octobre 1850, fils de Florence Guisline Charlotte Camus. Dans l'état actuel de nos connaissances, on ne peut que conjecturer mais, sans trop se forcer, on peut imaginer que Jules Camus eut un caractère bien trempé dès le plus jeune âge.Il se maria à Liège le 9 septembre 1876 avec Florence Chantraine, une fille de meunier quil avait peut-être rencontrée lors de ses études de médecin, probablement à l'Université de Liège.Le couple s'installa rapidement à Andenne compte tenu que Jules Camus devint médecin de divers établissements charitables dès 1876 (Gesves 1876-1879, Andenne 1878-1902, Seilles 1878-1895, Sclayn 1900), de la Cie des Chemins de Fer du Nord belge en 1879 et de la Gendarmerie en 1887, pour ne citer que les principaux.Bref, un homme engagé dans son métier à un point tel que le Secrétaire communal, A. Pirsoul écrivait en février 1907 pour l'obtention de la croix civique de 1ère classe : « Jules Camus a donné des soins constants et on ne plus dévoués, au péril de sa vie, au cours des épidémies de variole, de typhus, de diphtérie et de choléra qui ont éclaté dans le canton d'Andenne de 1876 à 1906 ... c'est grâce au rare dévouement de ce praticien auprès de ses malades que presque tous ont pu échapper à la mort ... »Rien d'étonnant qu'avec une telle expérience de vie, Jules Camus entre en politique comme en sacerdoce et quil est considéré comme une personnalité de premier plan, dominant la scène politique pendant un quart de siècle.D'un caractère entier, ne supportant aucune contradiction, Jules Camus était un rude jouteur, ce qui lui valut de féroces inimitiés. Il devra donc assumer longtemps un rôle d'échevin tout en régnant en maître au Conseil et au Collège communal, dirigeant à son gré les affaires de la commune.Le 15 octobre 1911 se déroulèrent les dernières élections avant la guerre.Ces élections furent à la mesure du personnage, se résumant en une lutte entre Camusards et Anticamusards. La liste de Jules Camus fut largement plébiscitée ce qui obligea « enfin » le Gouvernement à lui accorder le titre de Bourgmestre par arrêté du 10 juillet 1912.Cette consécration fut de courte durée car cétait sans compter sur la violation de la neutralité de notre pays par larmée allemande le 4 août 1914 et larrivée des premiers soldats allemands dans notre ville le 19 août 1914. Fidèle à lui-même, c'est toujours en donnant de sa personne sans compter qu'il perdit la vie le 20 août 1914. Il habitait rue Brun et venait dêtre blessé à la jambe et cest en se rendant chez le pharmacien Guilitte, aux Quatre Coins, pour se faire panser, qu'il fut tué par les allemands. Son corps fut inhumé au Cimetière des Fusillés avec bon nombre de ses compatriotes qui vécurent le même tragique destin.Comme le disait si bien le Dr Melin en conclusion de son livre, « ... il a gravé dans l'histoire d'Andenne l'impérissable souvenir de la brillante intelligence, de l'inlassable activité et de l'indomptable énergie qu'il apporta dans l'administration des affaires communales et qui le firent contribuer si largement à l'embellissement de sa ville natale. Sa fin douloureuse symbolisera le martyre de la cité d'Andenne. »Il est et restera, pour nous et les générations futures, un exemple !

Le Musée de la céramique d’Andenne Asbl a pour objet la mise en valeur de la céramique andennaise, depuis ses origines jusqu’à nos jours, notamment par la recherche et l’acquisition de cette céramique, son étude, les publications, sa présentation dans le cadre du Musée, des conférences, des expositions, etc. Cette mise en valeur ne peut se faire sans replacer ces céramiques dans leur environnement historique. Aussi le patrimoine culturel, folklorique et historique d’Andenne trouve-t-il sa place dans le Musée.
ATTENTION ! A partir du 17 septembre 2018, le Musée n’est plus accessible au public et n’accepte plus de visites spontanées. Il se prépare à son déménagement. Nous proposons néanmoins encore une belle offre pédagogique pour les groupes et sur réservation. Restez informés.ées via notre site web de nos événements.
musee@ceramandenne.be
Contact Téléphone: 085/84.41.81
Email: musee@ceramandenne.be
Ste web : www.ceramandenne.be

Le Musée et Trésor est situé en la collégiale Sainte-Begge (1764-1778), chef duvre religieux néoclassique de larchitecte L-B Dewez (1731-1812).Dans les sacristies et annexes (12 salles), vous pourrez admirer de multiples richesses : orfèvreries, châsse renaissance de Sainte-Begge, objets de culte, lutrin griffon du 16e siècle (classé avec la qualification de trésor par un arrêté ministériel du 16 janvier 2012), ornements, peintures, pierres tombales, porcelaines dAndenne, sculptures, manuscrits, imprimés du 15e au 20e siècle Découvrez la Collégiale en 3D !

À gauche de la collégiale, ne manquez pas la Fontaine Sainte-Begge, anciennement appelée « Fontaine aux Poussins », en référence à la légende de la fondation d’Andenne.
Ainsi, on raconte qu’au 7ème siècle, Sainte Begge choisit d’ériger un monastère à l’endroit où son fils observe une poule et ses sept poussins, signe qu’elle interprète comme une volonté divine. L’emplacement choisi n’est autre que l’actuelle Place du Chapitre. On dit également que la vallée choisie par Begge abritait une source fraîche toute l’année. C’est sans doute la source qui alimente aujourd’hui la fontaine Sainte-Begge.
La fontaine comporte trois bassins : le premier est dédié à l’eau de boisson et de cuisine, le deuxième au bétail, et le dernier à la lessive. Juste au-dessus du premier bassin, vous remarquerez une petite niche grillagée dans laquelle trône une statue de la sainte patronne.
La tradition orale nous rapporte une anecdote sur ce monument. Les lavandières du quartier auraient eu pour habitude de traverser la collégiale pour accéder aux bassins. Agacé par cette manie, le clergé aurait alors décidé de faire graver une épitaphe au-dessus de l’entrée droite de la collégiale. Cette inscription est encore visible aujourd’hui, elle dit : LES CHIENS HORS DE LA MAISON DE DIEU. Comme si la consigne n’était pas assez claire, on va même jusqu’à raconter qu’un garde était posté à cette entrée pour obliger ces dames, leur linge, leurs enfants et leurs chiens, à faire le tour…

Utilisée par les ménagères dantan, la fontaine est située rue dHorseilles dans le Vieil Andenne. Elle représente un ours percé dune flèche, sculpté en bas-relief campé sur un rocher traité en pure rocaille et qui fut retrouvé au « Thier de lOurs » au sud du cimetière dAndenne dans une carrière qui fournit la plupart des pierres employées à la construction de léglise dAndenne.Une pierre enchâssée dans la muraille porte cette inscription : « CHARLES MARTEL DE PEPIN 2 FILS NATVREL EN LAN SEPT CENT PEV PLVS ME MIST ICY A MORT CRVELE » rappelant lexploit de Charles Martel qui aurait vaincu de ses mains un ours qui terrorisait la contrée.On raconte que cet homme aurait terrassé un ours qui terrorisait la région alors quil nétait quenfant ! Vous aurez également loccasion dentendre toute lhistoire du grand Carnaval des Ours qui a lieu chaque année à Andenne par un des organisateurs ; explications qui vous donneront fortement envie dy participer !Pour en savoir plus sur la légende de l'Ours à Andenne, le Carnaval des Ours et la Fontaine de l'Ours, écoutez notre audioguide :http://soundcloud.com/andennetourisme/11-l-gende-de-lours-fontaine

Site incontournable du patrimoine andennais et lieu de promenade apprécié des joggeurs et vttistes, ce monument reste assez peu étudié… Le Calvaire andennais est situé à flanc de colline au cœur du vieil Andenne. Le site aurait été érigé au 17ème siècle suite à une épidémie. Il est constitué d’un sentier en lacet bordé de six potales qui monte jusqu’à une petite chapelle de brique rouge. Les potales auraient été aménagées entre 1630 et 1653 tandis que la chapelle daterait de 1732.
Si le Calvaire a depuis longtemps perdu son caractère religieux, il a toujours été cher aux Andennais qui ont eu à cœur de l’entretenir et de le conserver au fil des siècles.
En 1818 déjà, un subside est accordé par le Conseil de Régence de la Ville d’Andenne pour procéder aux réparations des potales du Calvaire.
En 1913, un comité est fondé dans le but de restaurer le Calvaire d’Andenne. Il obtient de la Commune un subside de 2 000 francs ainsi que 3 000 francs de souscriptions. À cette époque, les potales et la chapelle sont entièrement restaurées. Les niches des potales sont alors ornées de tableaux représentant le Chemin de la Croix peints par Charles Bonhivers (peintre local qui trouvera la mort l’année suivante pendant le siège de Namur). Aujourd’hui, ces peintures ont disparu, on ne sait pas quand elles ont été enlevées… Toujours en 1913, le chemin en lacet est redressé et garni de bancs et le versant de la colline est partiellement déboisé. Malheureusement la Première Guerre mondiale met fin à cette belle initiative et par manque d’entretien, le chemin du Calvaire redevient bien vite impraticable.
En 2009, l’Office du Tourisme, en collaboration avec la Ville d’Andenne, monte un vaste projet de réhabilitation et de mise en valeur du site du Calvaire. Une subvention du Commissariat Général au Tourisme est accordée à la Ville pour la réalisation de ces travaux. Leur coût était estimé à 354 277.67 euros TVAC.
Ce projet est réalisé en 3 phases entre 2009 et 2012 : rénovation de la chapelle et du point de vue, réalisation d’un accès PMR depuis la Rue du Calvaire ; remise en état du sentier, rénovation des potales et révision de l’éclairage ; mise en place d’une signalétique sur le site et dans le centre-ville.
Lors de ces derniers travaux, la chapelle sommitale du Calvaire a été démontée pierre par pierre et remontée quelques mètres sur la droite de son emplacement initial (elle menaçait de tomber dans une fosse toute proche).
Depuis le Calvaire, vous aurez une vue imprenable sur les vieux quartiers de la ville et sur la vallée de la Meuse. La table panoramique actuelle a été placée sur une construction circulaire plus ancienne ; il s’agit d’un bunker de la Défense Contre les Avions allemande, datant de la Seconde Guerre mondiale.
Le saviez-vous ?
Au Calvaire, on pratiquait les « Rogations », des processions accomplies par les Chanoinesses d’Andenne pour célébrer le Saint Sacrifice. Elles se déroulaient pendant les 3 jours qui précèdent l’Ascension. Les Chanoinesses débutaient leur périple à la Collégiale : le premier jour, elles montaient au Calvaire pour rejoindre ensuite la Chapelle des Tilleuls, le deuxième jour et la chapelle Saint-Roch (Rue Saint-Roch) le troisième et dernier jour.

Ce site, qui apparaît dans divers documents dès le 17e s, est situé en plein cur dAndenne et peut être parcouru de part en part grâce à un sentier en lacet bordé de six potales et dune chapelle en son sommet. Ces potales (17es.) et cette chapelle (18es.) auraient été construites suite à une des nombreuses épidémies encore fréquentes à lépoque. Jusquau 18es., le Calvaire était alors appelé « Aux stations ». En effet, chacune des potales représentait deux stations du chemin de croix de la confession catholique.Le Calvaire aurait été un lieu de pénitence pour les chanoinesses et pour le bourg dAndenne. Il était en effet utilisé lors de la procession de lAscension ; évènement qui durait trois jours !Déjà en 1913, suite aux affres du temps mais aussi au vandalisme déjà constaté à lépoque, le site fut, une première fois, sérieusement restauré et ce en partie grâce à une souscription publique. Pour cette occasion, chaque potales a été dailleurs ornée de peintures sur bois réalisées par Charles Victor Joseph Bonhivers (1890-1914) représentant les illustrations des 14 stations dun chemin de croix. Celles-ci ont malheureusement disparus. Ce site fut entièrement rénové en 2012.Sil sagit de nos jours dune colline boisée, ce nétait pas le cas au temps des chanoinesses (fondatrices de la ville). Il a fallu attendre la fin du 19e s. pour que la végétation envahisse ce lieu. Le Calvaire perd son caractère religieux durant le 20es., mais il reste aujourdhui encore très apprécié par les promeneurs pour y passer un moment de détente ou par les sportifs (vététistes ou joggers) à la recherche dadrénaline. Du sommet, vous pouvez admirer un vaste panorama sur la ville et ses vieux quartiers et sur la vallée de la Meuse.Pour en savoir plus rendez-vous sur Bibliotheca Andana : www.bibliotheca-andana.be/'tag=calvaireou sur Andenne Tv pour un aperçu en vidéo Chapelle : Cette chapelle fut édifiée au 18e s. Ses murs latéraux et arrière sont en calcaire, tandis que la façade est en briques. Elle fut entièrement démontée pierre par pierre en 2012 et remontée quelques mètres sur la droite de son emplacement initial.Panorama : Cette construction circulaire (vestige de la deuxième guerre mondiale) est agrémentée dune table dorientation panoramique qui vous permet de situer les principales curiosités de notre région.Potales : Le chemin en zigzag qui grimpe le Calvaire est ponctué des 6 potales (17e s.). En 1913, lors de la première rénovation du site, chaque potale fut ornée de peintures sur bois illustrant les 14 stations dun chemin de croix. Celles-ci ont malheureusement disparu avec le temps.

Cette oeuvre d’Arthur Craco se situait dans les jardins du Château Noël, le long de l’Avenue Roi Albert en allant vers Andenelle. Au bord du bassin, on pouvait apercevoir quatre chimères (animal composé d’une tête de lion, d’un corps de chèvre et d’une queue de serpent) crachant de l’eau dans un large bassin. Au milieu de ce bassin, un autre bassin plus petit était porté par quatre colonnes surmontées chacune d’un bouledogue.

Cette uvre dArthur Craco se situait dans les jardins du Château Noël, le long de lavenue Roi Albert en allant vers Andenelle. Au bord du bassin, on pouvait apercevoir quatre chimères (animal composé dune tête de lion, dun corps de chèvre et dune queue de serpent) crachant de leau dans un large bassin. Au milieu de ce bassin, un autre basin plus petit était porté par quatre colonnes surmontées chacune dun bouledogue.

Ce projet s’inscrit dans notre volonté de créer des espaces de loisir et de convivialité pour les habitants et propose des modules de jeux à destination des enfants, modernes et colorés, et un espace de sport (basket et football), un agoraspace avec un streetbasket et des modules de remise en forme.
Ces installations réalisées par l’entreprise de travaux Nonet sur un projet du bureau d’architecture Arcoplan bordent le halage et le Ravel et offrent ainsi aux utilisateurs un espace de détente et de rencontres en bord de Meuse.

Léglise avec sa tour date du 12e siècle. Construite en grès rougeâtre, ce remarquable monument de larchitecture mosane est lune des plus anciennes de la région et témoigne de la richesse des potiers actifs en ce lieu. Elle a subi de nombreux remaniements : changement des piliers extérieurs (au 17e siècle), déplacement du portail dentrée (1853 et 1875), construction du transept (1860) et des collatéraux (1923).Cest une erreur de croire quelle a été bâtie dans un fond. Dans le temps, elle était au niveau de la route et de la place. On y entrait de plain pied, par une grande porte percée au pied de la tour, du côté du ruisseau. Mais à la réalisation de la route dAndenne à Haillot, on a relevé la portion de la route et il a fallu descendre quelques marches pour entrer dans léglise.

Andenelle est l’une des plus anciennes localités andennaises. Son occupation, attestée par de nombreuses campagnes de fouilles archéologiques, remonte à l’époque romaine. L’église Saint-Pierre d’Andenelle a été fondée au 12ème siècle et est bâtie en moellons de grès et de calcaire. De l’époque romane elle ne conserve que sa tour et sa nef à 5 travées. Le reste de l’édifice a connu de nombreuses restaurations aux 16ème, 19ème et 20ème siècles. Parmi les éléments néo-romans ajoutés, on compte : les deux entrées actuelles, le plafond et les collatéraux (élargis et couverts d’une toiture à pans multiples dont les fenêtres jumelées sont relativement fantaisistes).
La tour d’Andenelle est datée du 12ème siècle. Elle n’a subi que des modifications mineures, son aspect primitif est donc plus facile à restituer : tour carrée de 4 niveaux, percée de meurtrières et d’une seule ouïe par face. Elle est munie d’une porte d’accès au premier étage (actuelle porte du jubé).
Longue de 5 travées et munie d’un chœur à chevet plat, la nef romane a été transformée en plusieurs étapes. Au 16ème siècle, les piliers romans sont remplacés par des colonnes gothiques en calcaire mosan. La nef est ensuite agrandie en 1860 par l’ajout d’un large transept qui ne faisait pas partie du plan d’origine. Les collatéraux ont, pour leur part, subi de lourdes modifications. Ils ont été rebâtis et élargis à deux reprises en 1860 et 1923, date à laquelle ils perdent leur toit d’un seul tenant remplacé par une toiture à pans multiples.
Le chœur à chevet plat d’origine a été démonté ou détruit pour être remplacé, en 1860, par un chœur néo-roman. Il contient cependant un objet ancien, un tabernacle du 14ème siècle qui se trouvait autrefois enchâssé à l’extérieur de l’église et qui a été placé dans le chœur en 1922. Certains y voient le tabernacle roman qui aurait orné le premier autel de l’église, mais cette hypothèse semble peu vraisemblable.
Le saviez-vous ?
Les deux premières colonnes de la nef sont remarquables tant par les figures taillées dans la pierre des chapiteaux que par les deux bénitiers dont l’un s’orne de figures naïves (il pourrait s’agir des portraits de généreux donateurs).

Il fut construit vers le 16e s. Apparemment, un étang, une dépression naturelle dans le sol recevant les eaux découlement des collines voisines et la proximité du ruisseau furent peut-être les éléments qui favorisèrent la construction du moulin à cet emplacement.Un barrage fut élevé dans le ruisseau. Un canal apporte leau à la réserve, celui- ci est sous la route actuelle. On y voit encore la dernière passe de lautre côté. Un mur a été construit lors de la création de la route pour soutenir les berges de létang.

Le Moulin Gobert fut construit vers le 16ème siècle. L’étang, une dépression naturelle dans le sol recevant les eaux d’écoulement des collines voisines, et la proximité du ruisseau furent peut-être les éléments qui favorisèrent la construction du moulin à cet emplacement.
Un barrage fut élevé dans le ruisseau. Un canal apporte l’eau à la réserve, celui-ci se trouve sous la route actuelle : on y voit encore la dernière passe de l’autre côté. Un mur a été construit lors de la création de la route pour soutenir les berges de l’étang.


Ce vieux moulin en pierre de grès chaulé situé dans une magnifique vallée, au bord de la forêt aurait été construit au 15e s. par la famille Crevecoeur de Keveray. Des ancrages fixés dans le mur de façade indiquent une date : « 1441 » mais il ny a aucun écrit qui confirme cette date. Très peu dinformations concernant ce moulin.Le moulin est aménagé au cours des siècles, et quelques petites dépendances sont construites lorsquen 1935, le moulin devient ferme. À partir de 1965, il changea souvent dactivité, hôtel restaurant, brasserie, dancing,

Ce vieux moulin en pierre de grès chaulé situé dans une magnifique vallée, au bord de la forêt aurait été construit au 15ème siècle par la famille Crevecoeur de Keveray. Des ancrages fixés dans le mur de façade indiquent une date : « 1441 », mais il n’y a aucun écrit qui confirme cette date. Très peu dinformations concernant ce moulin sont disponibles.
Le moulin est aménagé au cours des siècles et quelques petites dépendances sont construites lorsqu’en 1935, le moulin devient ferme. À partir de 1965, il changea souvent d’activité : hôtel, restaurant, brasserie, dancing… Actuellement, c’est un gîte.
Sur la Route de Haillot, à proximité du Moulin de Kevret, vous trouverez des étangs de pêche. Ils sont gérés par l’asbl « Société Royale Les Pêcheurs Réunis d’Andenne, Seilles et environs », dont le siège social est établi à Andenne, Quai des Fusillés, 1/1 boîte 2. Pour toute information complémentaire, nous vous invitons à contacter le secrétaire de l’asbl : Monsieur Jean-Pierre GILLES, par courrier rue Emile Vandervelde, 70, à 4500 Huy (Gives) ou par téléphone au 085/84 34 24 (GSM : 0497/67 83 60). Vous pouvez également consulter leur site : etangdekevret.wixsite.com/kevret .

Les ancêtres de Philippe de Grosse (ancien mayeur dAndenne) reçurent du Chapitre dAndenne le fief dit « Ferme de Grosse». La première ferme de Grosse aurait été construite au temps de sainte Begge. En 1678, la ferme fut incendiée et détruite lors de la guerre entre la France (alliée à lEspagne) et la Hollande. A cette époque et jusquen 1975, la ferme appartenait à la famille Limet, dont Joseph Limet (1868-1954), Bourgmestre de Coutisse, fut lun des derniers exploitants agricoles du lieu. Pendant la première guerre mondiale, quelques mécréants, après avoir placardé des affiches « Le beurre à deux francs ou lon boute le feu à la ferme ! », profitant de la réquisition des hommes de lexploitation par les troupes allemandes, mirent le feu à la ferme. Elle fut reconstruite, plus grande : les murs extérieurs sont devenus des murs intérieurs et la cour sagrandit aussi. Le domaine de Grosse fut aussi exploité pour la pierre, largile grise et blanche. Aujourdhui, bien restaurée et entretenue, elle est un bel exemple de ferme carrée.

Les ancêtres de Philippe de Grosse (ancien mayeur d’Andenne) reçurent du Chapitre d’Andenne le fief dit « Ferme de Grosse».
La première ferme de Grosse aurait été construite au temps de sainte Begge. En 1678, la ferme fut incendiée et détruite lors de la guerre entre la France (alliée à l’Espagne) et la Hollande. À cette époque et jusqu’en 1975, la ferme appartenait à la famille Limet, dont Joseph Limet (1868-1954), Bourgmestre de Coutisse, fut l’un des derniers exploitants agricoles du lieu.
Pendant la Première Guerre mondiale, quelques mécréants, après avoir placardé des affiches : « Le beurre à deux francs ou l’on boute le feu à la ferme ! », profitant de la réquisition des hommes de l’exploitation par les troupes allemandes, mirent le feu à la ferme. Elle fut reconstruite, plus grande : les murs extérieurs devinrent des murs intérieurs et la cour s’agrandit aussi.
Le domaine de Grosse fut aussi exploité pour la pierre, l’argile grise et blanche. Aujourd’hui bien restauré et entretenu, il est un bel exemple de ferme carrée.

Située à Coutisse, la ferme des Arches Royales évoque lantique forêt dArche. Arche viendrait de Arsus: terre brûlée, défrichée. Elle forme un beau quadrilatère en grès du siècle dernier dont il ne manque quune partie de grange. Cétait la propriété de Joseph Dessain depuis la fin de la première guerre mondiale. J. Dessain avait fait construire à proximité une maison de maître en 1922. La ferme nest plus exploitée depuis 1975.

Construite en 1846-1850 en remplacement dune ancienne chapelle, léglise se situe dans le village de Coutisse.La chaire de vérité toute en finesse est en bois verni et mérite dêtre vue. Un blason y est accolé avec linscription : « Christum Oportet Crescere ». Les autels latéraux sont en bois en style classique. Lautel de gauche est dédié à la Vierge Notre-Dame de Beauraing et celui de droite à Saint-Hubert, patron de la paroisse. Une partie du maître autel en marbre a été conservée. Léglise compte 8 vitraux colorés de style moderne à fond bleu et rouge représentant des scènes de la vis quotidienne et évoquant des béatitudes.

Située au cœur de Coutisse, l’église Saint-Hubert a été construite au milieu du 19ème siècle, en remplacement d’une ancienne chapelle.
Cet édifice répond aux caractéristiques du style néoclassique. Il a été construit en brique et en pierre bleue.
Sur la façade, vous remarquerez une stèle aux morts et aux déportés de la Première Guerre mondiale.
L’église est entourée d’un petit cimetière qui conserve quelques monuments funéraires de taille remarquable.
Le saviez-vous ?
À l’intérieur, plusieurs éléments de mobilier sont intéressants : la chaire de vérité, les autels (dédiés à la Vierge Notre-Dame de Beauraing et à Saint-Hubert) et huit vitraux colorés de style moderne qui représentent des scènes de la vie quotidienne et évoquent des béatitudes.

Située à Coutisse, elle est composée détables et dun logis traditionnel qui date de 1791. Ensemble en long de la fin du 18ème siècle en brique et pierre bleue. Dans le prolongement mais un peu désaxé, volume identique abritant fournil, remise à chariot et grange en large.

C’est un ensemble en « U » qui regroupe des constructions en calcaire des 17ème et 18ème siècles, jadis entourées de douves. Sa tour circulaire de quatre niveaux est percée d’ouvertures qui servaient auparavant pour la surveillance des alentours.
Toutes les batailles importantes de l’histoire laissèrent de grandes cicatrices et de nombreuses séquelles dans nos campagnes. La ferme de la Vaudaigle ne fut pas épargnée.

Oiseau farceur Bancs Mosaïque Coq farceur Galaxy Adara Galopeur Poubelles Spica jaune Spica vert

L’ancienne collégiale Notre-Dame et Saint-Félix de Sclayn, actuelle église Saint-Maurice, a été fondée au 11ème siècle et était desservie par un chapitre de chanoines. L’église était entourée de plusieurs bâtiments dont des maisons claustrales, un hôpital, une école, une grange et de nombreuses annexes.
La construction de cet édifice débute vers 1072 par l’édification du chœur et du transept. Elle se poursuit par la nef et les collatéraux au début du 12ème siècle et se termine par l’avant-corps occidental après 1188. Contrairement à celui des autres églises romanes andennaises, le décor mural extérieur annonce la richesse relative du chapitre de Sclayn avec ses grandes arcades autour des fenêtres du chœur et ses frises de petites arcatures au-dessus des fenêtres de la nef centrale et de la croisée du transept.
Le saviez-vous?
Dans le mur occidental, on remarque de vieux blocs de remploi traités décorativement de fougères et d’un motif géométrique non identifié, une sorte de plan, d’origine inconnue. Ces décors ont été datés du début de l’époque romane voire de la période préromane.
Classement : L’église Saint-Maurice est classée depuis le 17 mars 1949.

Cest un ensemble en « U » qui regroupe des constructions en calcaire des 17 e et 18 e siècles, jadis entourées de douves. Une tour circulaire de quatre niveaux, percée douvertures qui, auparavant, servaient pour la surveillance des alentours. Toutes les batailles importantes de lhistoire laissèrent de grandes cicatrices et de nombreuses séquelles dans nos campagnes. La ferme de la Vaudaigle ne fut pas épargnée.

Située à deux pas d’Andenne, la Grotte Scladina est un site préhistorique exceptionnel. Depuis 1978, des archéologues y travaillent afin de mieux comprendre ce lieu qui renferme une histoire vieille de centaines de milliers d’années’
Scladina regorge de richesses archéologiques : plus de 20.000 outils en silex et déchets de taille, attribués aux hommes de Néandertal, côtoient des ossements d’animaux préhistoriques. Finalement, la découverte en 1993 de la mâchoire inférieure d’une jeune Néandertalienne a provoqué un bouleversement tant émotionnel qu’anthropologique dans ces recherches !
Scladina est le seul chantier de fouille préhistorique belge accessible au public. Visiter Scladina, c’est comprendre le métier d’archéologue, entre Histoire et sciences, mais c’est aussi ouvrir les yeux sur une ancienne humanité, avec respect et humilité.
Toute l’année le site accueille de nombreux groupes et groupes scolaires, sur réservation. Au programme, une visite du chantier de fouilles au coeur de la grotte où les participants peuvent directement assister au travail de l’archéologue et un choix parmi diverses animations :
Initiation à la chasse préhistorique (javelot et propulseur)
Rites et croyances chez les Néandertaliens
Le métier de paléontologue
D’autres ateliers sont en préparation, n’hésitez pas à contacter le Centre Scladina pour des informations supplémentaires !
Retrouvez toutes nos informations sur www.scladina.be
Pour toute personne désireuse de venir découvrir notre site, plusieurs possibilités :
Dimanches et jours fériés, visite guidée à 14h. Tous les premiers dimanches du mois, l’entrée est gratuite.
Vacances de printemps, du lundi au vendredi, visite guidée à 14h.
En juillet et en août, du lundi au vendredi, visite guidée à 14h.
Réservation pour groupes toute l’année.
Tarifs: adulte 8′ – senior (65+) 6′ – 6-18 ans 4′ – Moins de 6 ans gratuit
Mesures liées au coronavirus :
Possibilité de visite UNIQUEMENT sur réservation lors d’une visite guidée, tous les jours en juillet et août à 14h EXCEPTE le samedi (sauf 15/08)
Pour les réservations, nous vous demandons d’envoyer de préférence un e-mail à l’adresse grotte@scladina.be ou de contacter le numéro suivant 081/58 29 58. Au plus tard 24h avant votre visite en tenant compte que les mails ne sont pas relevés le samedi.
Le port du masque sera OBLIGATOIRE pour tous les visiteurs et le paiement électronique fortement recommandé. Nous limitons le nombre de visiteurs à 25 personnes par groupe.
D’autres mesures sanitaires seront mises en place comme une désinfection obligatoire des mains pour tous les visiteurs et un accueil en extérieur sous une tonnelle.

Léglise Saint-Maurice a remplacé lancienne collégiale dun chapitre fondé au 11 e siècle par lEmpereur Henri IV. Elle fut primitivement dédiée à Notre-Dame et à Saint-Félix. Cet édifice est de style roman (mais de style ionique en façade) et il fut restauré à maintes reprises.

Cet ensemble est principalement daté du 17ème siècle et forme un L encadré de trois tours d’angle.
À l’ouest, un long bâtiment du 19ème siècle a remplacé les édifices anciens et donne sur une ferme contemporaine.
À l’est, l’aile comprenant le portail d’entrée constitue sans doute le point de départ de la construction du complexe. Il s’agirait de l’ancienne Cense de Jandrenne déjà citée au 14ème siècle.
La propriété est acquise en 1617 par Jacques de Zualart, personnage fortuné et bourgmestre de Namur.
Devenu seigneur de Sclayn-Bonneville, il en fait un château harmonieux doté d’une façade de style Renaissance mosane caractérisée par l’alternance de briques et de cordons de pierres calcaires.
Tilmant de Zualart, fils de Jacques, se ruine lors de la poursuite de ces travaux et c’est son créancier principal, le chevalier Jean-Hubert de Tignée, qui devient vers 1690 le nouveau propriétaire et seigneur de Bonneville.
Depuis 10 générations, le château de Bonneville n’a plus été vendu, il appartient encore aujourd’hui à son descendant direct, le chevalier Baudouin de Theux et à son épouse.
Info : La Cense de Jandren, attenante au château de Bonneville, a fait l’objet d’un vaste chantier de restauration et de réaffectation il y a quelques années. Elle est toujours en exploitation et accueille maintenant réceptions et événements.

Les grands sites préhistoriques ouverts au public sont rares et parmi ceux-ci, la Grotte Scladina est un cas unique ! Des archéologues y travaillent au quotidien. Sous leur conduite, vous pénétrerez au cur du gisement. Vous y découvrirez toutes les ficelles dun métier de patience et de passion. Ils partageront avec vous les découvertes et études faites sur lEnfant de Sclayn, un jeune néandertalien âgé de 8 ans et 17 jours au moment de son décès survenu il y a environ 100.000 ans. Visiter Scladina est une occasion exceptionnelle dobserver un site de fouilles en activité !Vous êtes enseignant ou responsable dun groupe denfants, les activités suivantes sont disponibles pour vous à la Grotte Scladina : Visite de la grotte Scladina, le chantier de fouille permanent : formation et remplissage des grottes, les animaux préhistoriques (ceux qui hibernent, les grands prédateurs, les charognards, les herbivores), Visite de lespace muséal consacré aux expositions temporaires LaboJunior (manipulations dauthentiques vestiges préhistoriques) : exercice de reconnaissance de dents danimaux préhistoriques trouvés à la grotte (carnivores, herbivores, omnivores) Préhisto-Quizz (approche dynamique et ludique sur base de facsimilés des grandes inventions de la Préhistoire)Concrètement, composez votre programme parmi nos 4 activités (± 1h15/activité). Pour les tarifs et les informations supplémentaires, visitez le site www.scladina.be.Pour les amoureux du patrimoine ou simplement pour ceux qui ont envie de visiter un chantier de fouille préhistorique, consultez notre agenda des activités sur www.scladina.be/pratique.htm

Élevée en moellons de calcaire mêlés de grès, l’église Saint-Firmin est une église d’inspiration romane qui a subi de nombreuses modifications. L’édifice a connu une transformation majeure au 19ème siècle, lorsque deux travées sont ajoutées à la nef et que le chœur est reculé d’autant.
Les origines de cette église sont relativement obscures. Il s’agissait probablement, au départ, d’une simple chapelle dépendant de la paroisse de Sclayn et dédiée à Saint Jean-Baptiste. Ce n’est qu’au 19ème siècle que la titulature à Saint Firmin devient officielle.
La tour de Saint-Firmin culmine à 15,10m ; elle est percée de meurtrières et d’ouïes et ses murs sont talutés. Par sa forme et ses fonctions, elle est assez semblable aux tours de Seilles et Sclayn.
L’intérieur de l’église a subi des transformations qui ont considérablement modifié la perception des espaces. Les arcades en plein cintre qui structuraient la nef romane ont été remplacées au 19ème siècle par des colonnes. Les collatéraux ont été fortement remaniés au 18ème siècle. Il est probable que l’église romane ait eu un chœur à chevet plat et qu’il ait été ensuite démonté et partiellement reconstruit au 19ème siècle. Lors du remontage du chœur, les baies romanes sont reproduites à l’identique en remployant quelques pierres plus anciennes.
En ce qui concerne les aménagements liturgiques, 3 autels néoclassiques et une chaire de vérité du 19ème siècle sont installés dans la nef lorsque celle-ci est agrandie. Notons que cette chaire remployait des panneaux sculptés en bois du 18ème siècle présentant la Vierge, Saint Jean-Baptiste et le Christ. Ces panneaux sont actuellement réinsérés dans l’autel contemporain (1963).
Au 20ème siècle, une nouvelle campagne de transformation débute : le tracé originel des arcades romanes leur est rendu, l’autel est avancé face aux fidèles, un Christ en plâtre est suspendu dans le chœur, des fonts baptismaux en pierre bleue sont réalisés par Jean Willame, la polychromie de certaines statues est refaite, tandis que les verrières sont remises en plomb et que les fenêtres du chœur reçoivent les œuvres de Louis-Marie Londot, peintre namurois réputé.
Le saviez-vous?
Une dalle funéraire de style renaissance se trouve dans le collatéral sud. Elle appartient à Jean de Namur, propriétaire de la cense de Dhuy, fils illégitime du comte de Namur, mort en 1569.
Saint-Firmin est membre du réseau Églises Ouvertes, l’édifice est donc ouvert du 15 juin au 15 septembre tous les dimanches de 10h à 12h et de 14h à 18h. Merci de ne pas perturber les offices religieux lors de vos visites.
Offices religieux :
mercredi : 18h30
dimanche : 11h00

Cet ensemble en « L », précédé dun parc, se trouve face à léglise. Bâti en plusieurs fois, en moellons calcaires de différentes époques, le bâtiment forme un carré flanqué de trois tours carrées dont lune date de 1538. La belle façade de style traditionnel mosan nous invite à découvrir une subtile alliance de briques rouges et de cordons horizontaux de pierres calcaires. La construction de laile principale (au nord, du côté de léglise) a été entreprise au début du 17 e siècle par Jacques Zuallart, Seigneur de Sclayn et de Bonneville. En 1690, son fils Tilman Zuallart, complètement ruiné par la poursuite de la construction du château, est obligé den céder la propriété à son créancier principal le Chevalier Jean-Hubert de Tignee. Depuis lors, le château de Bonneville sest transmis par voie de succession pendant dix générations jusquà son descendant direct et propriétaire actuel, le Chevalier Baudouin de Theux. Un jardin dinspiration classique française du 18 e siècle quasi inchangé depuis sa création sétend sur un hectare et demi environ, au nord et à louest du bâtiment.

La ferme de Dhuy compte parmi les plus anciennes bâtisses du village. Elle relevait initialement de l’abbaye de Cornelimunster et devint ensuite la propriété des comtes de Namur, de la branche des seigneurs de Dhuy et de Flostoy. Ce remarquable quadrilatère regroupe, autour d’une cour pavée, des bâtiments en brique et calcaire des 16ème et 18ème siècles.
La porte du logis est surmontée d’une pierre millésimée datée de 1587, portant les armoiries des familles de Namur et Rowier. À gauche du porche d’entrée, la muraille est ponctuée de tours, une ronde et deux carrées.
Juste avant la 2ème tour, vous remarquerez une porte basse datée à la clé, protégée par une très charmante petite bretèche (logette en saillie sur une façade, utilisée autrefois comme ouvrage de défense).
Information utile : il existe un projet de réaffectation de cette ferme, les permis d’urbanisme ont été accordés par la Commune, les travaux débuteront en 2019/2020.

Saint-Firmin est invoqué contre les rhumatismes et autres fourmillements. Entourée de son ancien cimetière, léglise date en partie du 11 e siècle (la tour et la partie avant de la nef). Elle présente en effet toutes les caractéristiques des nombreuses églises de la région construites dans la mouvance de labbaye de Cornelimunster telles que celles de Sclayn, Strud, Seilles, Wierde, etc. Elevée en moellons rugueux dun calcaire local auxquels se mêlent des grés ferrugineux dune belle couleur rouille, léglise a, au cours des siècles, subi de nombreuses transformations qui lui donnent cet aspect élégant quon lui accorde aujourdhui. Elle a été agrandie en 1866 à lest par deux travées de même style et un chur à trois plans du 18 e siècle probablement démonté et reconstruit. Elle forme un ensemble harmonieux de style roman. A lorigine la tour trapue avait une vocation défensive. On peut encore le deviner en observant les ouvertures prévues dans ses murs épais doù lon pouvait tirer des flèches ou autres projectiles envers déventuels assaillants.Cette église fait partie du réseau des Églises Ouvertes, consulter la page qui lui est consacrée !

Le château-ferme de Thon-Samson compte parmi les monuments les plus exceptionnels du village. On parle de « château-ferme » puisqu’il s’agit en réalité d’un vaste quadrilatère clôturé composé d’un corps de logis seigneurial et d’une ferme attenante.
Les premières mentions de la seigneurie de Thon remontent au 14ème siècle. Au donjon médiéval se rajoute par la suite un corps de logis à deux étages des 16ème et 17ème siècles. La partie « château » est située à la droite du porche d’entrée de la cour.
Le reste des bâtiments de cet ensemble est occupé par une grande ferme construite au 17ème siècle puis rénovée et agrandie au 19ème siècle. Juste à côté du corps de logis, se trouve une petite porte basse qui donnait accès à l’ancien fournil (lieu de travail du boulanger où l’on pétrit la pâte et où l’on cuit le pain). Le bâtiment est prolongé sur la droite par une longue aile d’étables et sur la gauche par une aile plus courte. Vous remarquerez aussi la présence d’une charmante petite tour carrée à l’angle du mur d’enceinte.

Cette jolie ferme compte parmi les plus anciennes bâtisses du village. Elle relevait initialement de labbaye de Cornelimunster et devient ensuite la propriété des comtes de Namur, de la branche des seigneurs de Dhuy et de Flostoy.Ce remarquable quadrilatère regroupe, autour dune cour pavée, des bâtiments en briques et calcaires du 16e et 18e siècle. La porte du logis est surmontée dune superbe pierre armoriée datée de 1587, portant les armoiries des familles de Namur et Rowier.Il ne faut pas manquer dadmirer entre le porche dentrée et lextrémité du logis une ravissante porte chaînée en anse de panier datée de 1622, que protège une «bretêche » sur console en quart de rond.

L’église Saint-Remi de Thon-Samson présente un style néoclassique relativement simple. Sa façade, réalisée en belles pierres appareillées et martelées, est mise en relief par le travail de sculpture autour de la porte et de la fenêtre. Le relief ainsi créé sert à magnifier l’entrée de l’église et crée l’illusion d’un faux portail.
En haut de la façade, vous apercevez un grand Christ en pierre dont les origines sont obscures ainsi qu’un millésime qui date l’église de 1780.
La nef de quatre travées est imbriquée entre le choeur et une tour à l’Est. Cette dernière, construite en calcaire et en brique, est surmontée d’un pavillon en cloche, d’une croix et d’une flèche qui donnent tout son caractère à cette église villageoise.
L’église Saint-Remi est jouxtée par un petit cimetière.
Le saviez-vous ?
L’église actuelle a été construite dans des circonstances particulières. En effet, à cet emplacement se trouvait une église ancienne dont l’état de délabrement est consigné (en français ancien) dans un procès-verbal de 1779 : « les murrailles étant toutes prette à tomber et les cherpente, étant presque tous pouris et consumés au point que l’on risque d’y être écrasé ». Il est donc décidé de reconstruire une nouvelle église en 1780. C’est le Baron de Rahier, Seigneur de Thon, accompagné de quelques notables et du curé, qui financent le projet. Les habitants, pour leur part, s’engagent à participer bénévolement aux travaux.

La ferme connue sous le nom « La Commanderie » forme un ensemble semi-clôturé en moellons de calcaire, planté en plein coeur du village. Lordre de Malte possédait une ferme à Bonneville mentionnée pour la première fois en 1466, la seconde fois en 1503 lorsquelle fut rattachée à la commanderie de Villers-le-Temple (doù le nom de la ferme).Des travaux, soit de construction, soit de rénovation, ont été réalisés en 1613 comme latteste la date gravée dans la clé au dessus de lentrée du corps de logis.

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Situé à plus de 30m au-dessus du niveau de la Meuse, l’emplacement de la Forteresse du Samson n’a pas été choisi au hasard. Naturellement protégé sur deux côtés, par les cours d’eau et l’escarpement des roches, le site forme un triangle dont seule la base doit être défendue. C’est ce que l’on appelle un éperon barré. La forteresse comportait trois enceintes: la première à laquelle on accédait par le haut du village de Thon, la deuxième qui abritait la basse-cour et la troisième qui entourait l’habitation du châtelain et les communs, et qui était munie de tours de défense. Des anciennes tours, il ne reste plus que la tour Lapidon presque intacte. Construite à flanc de coteau, elle surplombe aujourd’hui la chaussée de Gramptinne.
Nombreuses sont les légendes qui entourent la forteresse, parmi les plus célèbres : celle de la Chèvre d’Or. Les profondeurs du château-fort auraient abrité une Chèvre d’Or, démon bien connu du folklore wallon, auquel un merveilleux trésor aurait été confié. Mais pendant la nuit de Noël, la fameuse Chèvre perdrait ses pouvoirs et s’animerait, elle sortirait alors de sa cachette et gambaderait à travers les ruines du château laissant le trésor sans surveillance…
Information importante : Les ruines du château ne sont pas accessibles, les chemins qui y mènent sont d’ailleurs fermés au public. Il est très dangereux de s’y rendre !

Le château sest développé aux 16ème et 17ème siècles à partir dun donjon médiéval et est lancien siège dune seigneurie citée depuis le 14ème siècle. A langle des deux logis se dresse une tourelle descalier carrée percée arquebusiers. Au sud du château se déploie une ferme du 17ème siècle, rénovée et agrandie deux siècles plus tard.

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Cet édifice, situé à Thon, de style classique daté de 1780 porte une sobre décoration où lon remarque des pilastres ponctués de pommes de pin et de motifs floraux. La nef, agrandie en 1892, se termine par un chur semi-circulaire que prolonge une haute tour de calcaire et de brique couverte dun pavillon en cloche.

Saint-Martin de Maizeret a une histoire particulière puisque l’actuelle église a été précédée par deux autres ; une église primitive qui était située à l’emplacement de l’actuel cimetière et une seconde église qui aurait été reconstruite aux alentours de 1850 et détruite pendant la Seconde Guerre mondiale.
De ces deux contructions, il ne reste plus rien aujourd’hui. L’église Saint-Martin actuelle est édifiée sur la place de Maizeret en 1925. Elle présente un style néogothique.
Le saviez-vous ?
La titulature à Saint-Martin de l’église maizeretoise remonte à 1850. Elle est dûe à une légende locale qui raconte que Saint-Martin se serait arrêté dans le village au 4ème siècle pour y abreuver sa monture à la petite fontaine qui borde la rue de Villenval. Cette fontaine porte depuis lors le nom de « bac Saint-Martin ».

Le site fortifié du Samson dont on ne voit plus que des ruines aurait donné son nom au village. Ce site de défense, idéalement situé sur un promontoire surplombant la route de Gramptinne, fut notamment occupé par les Romains ; Jules César y aurait établit un camp retranché. Des fouilles ont également révélé lexistence de tombes, de pièces de monnaie ainsi que dobjets datant de loccupation du site par les Francs et les Mérovingiens.La forteresse de Samson était divisée en trois enceintes : un terrain rocailleux, une basse cour et des communs ainsi quau delà dun pont-levis, lhabitation du châtelain et son donjon. Les habitants du village étaient exempts de taxes en contrepartie dun tour de garde de la forteresse. Celle-ci fût assiégée en vain par les Normands au 9 e siècle. Le dernier siège du château eut lieu au 16 e siècle, du temps de Don Juan dAutriche. Le château fut finalement démoli sur ordre du Roi Charles II dEspagne en 1690.

La vallée du Samson est célèbre pour sa rivière et son patrimoine naturel mais aussi pour son patrimoine architectural. Cette vallée a été naturellement creusée par la rivière « le Samson ». Les roches qui vous entourent ont d’ailleurs été percées de nombreuses grottes et cavernes, dont les célèbres Grottes de Goyet, situées à quelques kilomètres seulement.
La vallée doit son charme typique à plusieurs facteurs : à ses versants fortement escarpés, à sa végétation luxuriante, à ses roches apparentes et bien sûr au cours sinueux de sa petite rivière. Elle est d’ailleurs classée Réserve Naturelle et en tant que telle, est protégée par un plan de secteur.
Le Samson, autrefois appelé Houyoux, prend sa source sur les hauteurs de Gramptinne et se jette dans la Meuse 16 km plus loin dans le village de Samson. Sa déclivité est l’une des plus fortes de la vallée mosane (1m10 en moyenne sur 100m). C’est une rivière rapide dont les crues peuvent être surprenantes car elle est rejointe sur son cours par de nombreux autres ruisseaux venant de Sorée, Florée, Sorinne, Courrière et Faulx. À Gesves, Mozet et Thon-Samson, le Samson a fait tourner une dizaine de moulins restés en activité jusqu’au siècle dernier.
Les eaux du Samson sont pures, ce qui a permis aux Facultés Universitaires de Namur et à l’Université de Liège d’y développer un projet pilote appelé « Meuse Saumon 2000 ». Projet qui vise à réintroduire le saumon atlantique dans le bassin mosan et d’y rétablir son cycle de vie complet. Ainsi, depuis 1988, près de 1,5 million de jeunes saumons ont été réintroduits dans des rivières belges, dont celle du Samson.

La Vallée du Samson Le village de Thon-Samson, perché en partie sur les hauteurs, est campé dans le décor verdoyant des prés et des taillis de la vallée du Samson.Le village est parcouru déléments du patrimoine, modestes ou prestigieux, qui par leurs valeurs architecturales, urbanistiques, touristiques ou affectives lui confèrent un supplément dâme.Le coeur du hameau, en pierre calcaire, a totalement conservé son charme dantan. Au gré des rues sinueuses qui le parcourent, ce village de près de 800 âmes, dévoile en effet un patrimoine architectural intact et parfaitement complété par les richesses naturelles du Samson. Léglise Saint-Remi (1780) Les rochers, de plus de 100 mètres de haut, offrent un magnifique panorama et constituent une formidable muraille calcaire.Classé depuis 1944, cet éperon rocheux est surmonté par les ruines de lancien château fort.De larges étendues agricoles situées sur les hauteurs du village proposent également un magnifique point de vue sur les superbes paysages des vallées. les Rochers de Samson.Énorme masse rocheuse percée de cavernes qui surplombe le fleuve de 80 mètres. Les Romains y auraient établi un camp retranché au 4e siècle.Quoiquil en soit, au Moyen Age, une puissante forteresse construite par le comte de Namur, surveillait de sa hauteur, la vallée de la Meuse de Marche-les-Dames à Sclayn.

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Grand bâtiment tout en pierre qui trône au milieu de la place du village. Léglise est de style néogothique, elle est très éclairée avec un plafond de briques rouges. Les autels et lancienne chaire de vérité sont en marbre. Léglise reconstruite en 1850 près du cimetière fut incendiée par larmée allemande en 1914 et rebâtie sur un nouvel emplacement en 1927.

L’église Notre-Dame de l’Assomption de Namêche aurait été construite en 1858 comme semble l’attester un millésime sur le portail de la tour. Elle présente un style néoclassique. Cette église a la particularité d’avoir été construite autour d’une tour qui date de la fin du 16ème siècle. La tour a été construite en calcaire et dispose de 3 niveaux, séparés par des larmiers et éclairés par des fenêtres en plein ceintre.
Selon la légende, la fondation de la première église de Namêche serait attribuée à Saint Materne.
Le saviez-vous ?
L’intérieur de l’église namêchoise abrite plusieurs monuments funéraires remarquablement anciens dont un tout à fait étonnant : le gisant gothique de Mélisinde de Hierges, épouse de Guillaume de Goumignies, châtelain de Samson, mort en 1255. Il s’agit d’un spécimen rare de la statuaire du 13ème siècle. Cette sépulture a longtemps été attribuée par erreur à Sybille de Lusignan.
Classement : l’église Notre-Dame de Namêche est classée depuis 1990.

Coq farceur Galopeur 1 poubelle 1 table avec bancs Toboggan avec tour

Au Moyen Âge, les Comtes de Namur entretenaient ici une garnison afin de couvrir leur capitale.
Début 15ème siècle, on rencontre à Melroy les plus anciens seigneurs appartenant à la famille Salmier.

Léglise de Namêche est un ensemble de constructions irrégulières remontant à différentes époques. Elle est entourée de son cimetière. Sa tour, avec ses ouvertures caractéristiques à la base du clocher, date du 16ème siècle. Le reste de lédifice a été reconstruit en 1858. A lintérieur, on observe dans les murs des pierres tombales. Le porche est la partie la plus intéressante du monument, il formait lancienne chapelle du village. Les nefs furent agrandies en 1730 et 1731, et le chur fut sans doute construit à la même époque.

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Soucoupe volante rouge/jaune

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Mombasa

Au Moyen Âge, l e s Comtes de Namur entretenaient ici une garnison afin de couvrir leur capitale.Début 15e siècle, on rencontre à Melroy les plus anciens seigneurs appartenant à la famille Salmier.

Ancien siège d’une seigneurie foncière revendue au 16ème siècle par Jean de Houssoy à la famille de Salmier, la ferme est exploitée depuis 1929 par la famille d’Ans.
Située sur la gauche du corps de logis, la tour domine le paysage.
Ce donjon, puissante masse carrée munie de murs de plus d’un mètre d’épaisseur, est bâti en moellons de grès ferrugineux, matériau trouvé sur place. À quatre niveaux, elle était autrefois surmontée d’un toit d’ardoises. Elle est percée de plusieurs petites fenêtres carrées cantonnées de pierres de taille et ouverte par une porte en plein cintre. La tour carrée, ainsi que la ferme et ses fortifications, ont servi de protection aux habitants de Houssoy au Moyen Âge.

Cet édifice moderne au clocher particulier, a remplacé en 1980 une église néogothique en pierres calcaires datant de 1866.Il conserve, scellé dans le mur extérieur, près de lentrée, une pierre semi-circulaire provenant de lancien bâtiment.

La petite chapelle érigée le long de la Rue de Marche-les-Dames à Ville-en-Waret est dédiée à Sainte-Barbe. Martyre des débuts du Christianisme, Barbe est invoquée contre la foudre, le tonnerre et les incendies. C’est aussi la patronne de tous ceux qui, par leur métier, sont exposés au péril des flammes : les mineurs, les pompiers, les artilleurs, les artificiers, les armuriers, mais aussi les couvreurs, les maçons, les charpentiers et les carriers.
Il n’est donc pas étonnant qu’en 1853, dans un village où l’exploitation de mines de fer est en plein essor, l’une des sociétés exploitantes, la Société Marcinelle et Couillet, finance la construction d’une chapelle à Sainte Barbe. Le travail dans la mine est un travail périlleux. Aucune assurance ne couvre les accidents et aucune pension n’est versée aux invalides. Lorsqu’ils entraient dans la mine par la galerie toute proche, les mineurs s’en remettaient à leur sainte patronne. Quand ils ressortaient après leur journée de travail, en signe de remerciement, ils ne manquaient jamais de déposer à ses pieds le reste de la chandelle à la lueur de laquelle ils avaient œuvré.
Construite en pierre, en brique et ornée de mâchefers (déchets solides provenant de la combustion de la houille), la chapelle est surmontée d’un toit caractéristique en forme de petit clocher entouré de 4 clochetons. Cette chapelle, haute de 4 mètres, rappellerait la forme de la tour dans laquelle fut enfermée Barbe.

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L’ensemble formé par la ferme, le ruisseau et les voiries avoisinantes, fut classé en avril 1989 en raison de sa valeur esthétique et architecturale. Le bâtiment, construit en moellons de calcaires locaux, est un parfait exemple d’une ferme de moyenne importance de la première moitié du 17ème siècle, aux confins de la Hesbaye et du Condroz.


Balancelle
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Mombasa

Ancien siège dune seigneurie foncière revendue au 16 e siècle par Jean de Houssoy à la famille de Salmier, la ferme est exploitée depuis 1929 par la famille dAns.Située sur la gauche du corps de logis, la tour domine le paysage.Ce donjon, puissante masse carrée munie de murs de plus dun mètre dépaisseur, est bâti en moellons de grès ferrugineux, matériau trouvé sur place. A quatre niveaux, elle était autrefois surmontée dun toit dardoises. Elle est percée de plusieurs petites fenêtres carrées cantonnées de pierres de taille et ouverte par une porte en plein cintre. La tour carrée ainsi que la ferme et ses fortifications ont servi de protection, au Moyen Âge, aux habitants de Houssoy.

Inaugurée en 2015, la Place Félix Moinnil offre un espace de convivialité aux habitants, avec des terrains de sport et des jeux pour les enfants qui y trouvent un joli terrain de rencontre. Elle abrite aussi l’église Notre-Dame Auxiliatrice de Petit-Warêt.

Construite en 1861 de style néo-classique, en grès et calcaire, à trois nefs, clocher en façade et chevet semi-circulaire, elle est une des rares églises à être toujours entourée de son cimetière. La plus grande partie de son mobilier fut exécutée en 1868 par les Ateliers Duvivier à Jemeppe-sur- Sambre. On y trouve une belle statue en bois de Saint-Pierre, patron de la paroisse.La chaire de vérité ainsi que les autels sont en bois sculpté. On remarque que les vitraux à dominante verte représentent chacun un saint.

Production de baies (fraises, framboises, …)
Vente chez le producteur : sur rdv
Lieux de distribution : Agricovert, La ruche qui dit oui, vente directe sur rdv
Contact Email: auplaisirdesbaies@gmail.com

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Ce bel ensemble en pierre, caractérisé par ses deux tourelles, date principalement des 16ème et 17ème siècles. Ce fut le siège d’une seigneurie namuroise dès le 14ème siècle. À l’origine, la ferme jouxtait un château. Mais celui-ci, inhabité depuis longtemps, a été démoli en 1946. Il n’en reste actuellement qu’un pan de mur en pierre à gauche de la ferme au pied de l’étang.
Celle qu’on appelle aussi Ferme Libois est une importante construction en calcaire organisée autour d’un plan en U ouvert à l’ouest, en direction de l’ancien château. À l’est, des murs anciens du 16ème siècle ont subsisté. Ils se reconnaissent par l’usage d’un bel appareil aux assises régulières et sont percés au centre par un ancien portail qui servait d’entrée (aujourd’hui murée). Juste à côté, vous pourrez observer une exceptionnelle grange du 16ème siècle, dont la maçonnerie est également très soignée. L’aile sud, pour sa part, se compose d’un corps de logis et d’une longue enfilade d’étables. Construite sur un bâtiment plus ancien, l’habitation date du 17ème siècle. Elle a été remaniée et exhaussée au 19ème siècle.
Aux angles du complexe, les emblèmes de la ferme : deux tours rondes percées d’arquebusières. Chacune est surmontée d’un pigeonnier, d’une corniche et d’une toiture d’ardoises sous courte flèche octogonale.
Enfin, au niveau du passage nord-sud, vous remarquerez deux portails, le premier de style Louis XIV (au nord) et le second, du 18ème ou 19ème siècle (au sud).

Site de lexploitation de la minière du Bois des Maçons dont le puits fut creusé en 1863 pour atteindre le minerai de fer en 1873 à une profondeur de 205 mètres.


Lensemble formé par la ferme, le ruisseau et les voiries avoisinantes fut classé en avril 1989 en raison de sa valeur esthétique et architecturale. Le bâtiment, construit en moellons de calcaires locaux, est un parfait exemple dune ferme de moyenne importance de la première moitié du17e siècle, aux confins de la Hesbaye et du Condroz.

Installée en décembre 2003 sur le rond-point avec la RN921 à Seilles, cette œuvre est particulièrement appréciée des Andennais. « La Grande Ourse et la Petite Ourse » est une création de Louis Noël. Elle a été réalisée en bronze, mesure près de 3 mètres et pèse 1,5 tonne : la réalisation de cette sculpture aura nécessité un an de travail !
L’achat de cette œuvre a été financé conjointement par la Région wallonne (MET), la Ville d’Andenne et le mécénat de François Van Belle.

Assez trapue et de style néoclassique, léglise Marie-Auxiliatrice trône sur la place de Petit-Warêt. Elle est datée de 1840 au portail de la tour mais a été construite en 1848. A lorigine, léglise davait quune seule nef et fut agrandie vers lest et datée de bas coté en 1871 daprès les plans de larchitecte Blondot. Eclairée par de larges fenêtres à vitraux, lédifice possède une chaire de vérité et un autel remarquable. Les autels latéraux ont eux été retirés. La construction dune seconde sacristie fut effectuée par la commune en 1914.

L’église Saint-Martin de Reppe est souvent considérée comme l’une des plus petites églises de Belgique. Par ailleurs, c’est une église tout à fait remarquable : elle constitue, à elle seule, une vraie ligne du temps. Elle abritait des fonts baptismaux du 12ème siècle, elle abrite encore des armoires murales en bois des 16ème ou 17ème siècles, des statues et des pierres tombales des 16ème, 17ème et 18ème siècles, une sacristie et un collatéral du 18ème siècle.
En ce qui concerne la date de sa fondation, les sources sont lacunaires. Sa ressemblance avec la crypte romane de la collégiale de Huy permettrait de fixer sa construction aux environs de l’an 1050. C’est donc l’une des plus anciennes églises romanes de la région !
L’église Saint-Martin présente également un intérêt architectural évident malgré les restaurations de 1978. Le bâtiment comportait à l’origine une nef, 2 collatéraux et un chœur à chevet plat. Malheureusement le collatéral nord a été détruit. À l’arrière du bâtiment, vous pouvez encore observer l’emprunte des voûtes de la nef. Dans le prolongement de ce collatéral, vous remarquerez aussi une sacristie ajoutée au 18ème siècle.
À l’intérieur, le chœur est couvert par une voûte en pierre qui présente des irrégularités dans sa forme. Dans les murs du chœur, on peut apercevoir deux petites armoires encastrées. Elles sont datées du 16ème ou 17ème siècle et servaient à la conservation des objets de culte avant la construction de la sacristie.
Le saviez-vous?
La chapelle de Reppe abritait des fonts baptismaux exceptionnels datés du 12ème siècle. En 1856, ils ont été déplacés dans l’église Saint-Pierre de Huy, ils sont depuis connus sous le nom de « Fonts romans de Huy ». Ne manquez pas non plus la plaque à l’entrée qui montre le niveau de montée des eaux lors des grandes inondations de 1880.
Classement : L’église Saint-Martin de Reppe est classée depuis le 1er août 1933 tandis que le site environnant est classé depuis le 17 mars 1977.

Le bel ensemble en pierre, orné de deux tourelles et datant principalement des 16 e et 17 e siècles, fut le siège dune seigneurie namuroise dès le 14 e siècle. A lorigine, la ferme jouxtait un château. Mais celui-ci, inhabité depuis plusieurs années, fut démoli en 1946. Il nen reste quun pan de mur en pierre à gauche de la ferme au pied de létang.

Le Pot est une oeuvre de Jean-Pierre Raynaud, artiste français de réputation internationale. Cette oeuvre d’art contemporain est un cadeau offert à la Ville d’Andenne par Joris Ide, du groupe international du même nom qui est présent au sein des Fonderies Lecomte (Seilles). Cette oeuvre de 4 mètres de haut est en acier corten. Des oeuvres similaires de l’artiste ont été d’ailleurs exposées dans des endroits prestigieux tels que le Musée national d’Art moderne de Paris ou la Piazza de Beaubourg.
Le Pot se trouve sur le rond-point de la rue du Pont.
Contact Email: tourisme@ac.andenne.be

Située à l'orée d'un bois et au milieu des champs, la "Ferme du Chant d'Oiseaux" est l'endroit rêvé pour découvrir l'Agriculture, source de notre alimentation. Manger, c'est bien; bouger, c'est encore mieux! C'est pourquoi, nous proposons également aux enfants des activités sportives, audacieuses...C'est dans cet écrin de verdure que depuis 1992, nous sommes heureux de vous accueillir avec toute notre équipe d'animation pour partager et découvrir avec vous cette nature généreuse.

Logée dans Le Phare, pôle culturel et touristique d’Andenne, la bibliothèque vous propose de découvrir près de 40.000 ouvrages dans ses espaces répartis sur deux étages, et pourvus des décors et carrelages turquoises de la piscine Art déco de l’ancienne Ecole normale de la ville. Romans, bandes dessinées, mangas, albums, livres en grands caractères, ouvrages documentaires,…petits et grands trouveront certainement leur bonheur. Des espaces de travail sont également mis à votre disposition.
Des animations, pour tous les âges, sont organisées tout au long de l’année : Bébé lit, Comité de lecture adulte, Lire au Parc, grainothèque,…n’hésitez pas à vous rendre sur notre site web pour plus de détails sur nos activités et nos services.
Un fonds d’histoire locale est à consulter sur place.
Découvrez notre catalogue en ligne, nos nouveautés et nos coups de cœur sur Tire-Lire.
Nos horaires
Mardi et Mercredi :
De 13h à 18h
Vendredi et samedi :
De 10h à 18h
Fermée le lundi, jeudi et dimanche
Conditions de prêt
Inscription gratuite pour tous, sur présentation de la carte d’identité.
Participation aux droits d’auteurs : 2€ pour les adultes et 1€ pour les enfants pour l’année.
Prêt gratuit jusqu’à 18 ans.
À partir de 18 ans : 0.25€ pour 4 semaines. Nouveautés, BD, périodiques et livres-audio à 0.40€ pour 2 semaines.
Retard : 0.25€ / livre /semaine.
Photocopies noir & blanc : 0.10€ / feuille Wifi gratuit.
Services
Aide à la recherche documentaire, conseils de lecture, WiFi gratuit, écrivain public, prêt de livres à domicile (Livr’émoi), salle de lecture, espaces de travail, photocopies en noir et blanc (0,10€/page), accès à des postes informatiques, prêt inter-bibliothèques,…
Contact Téléphone: 085/84.96.93
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Ste web : http://bibliotheque.andenne.be/

A Seilles, vous découvrirez léglise Saint-Etienne. Edifice roman de type classique, construit en pierres calcaires, grès et schiste, il date du 11e siècle. Avant dêtre une église, sa tour massive servait à la défense et au refuge des habitants du village en temps de guerre. On peut encore voir cela aux meurtrières et à lépaisseur des murs.


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La sculpture de « La Grande Ourse et la Petite Ourse », uvre de Louis Noël, a été installée en décembre 2003 sur le rond-point avec la RN 921 et de la rue de la Station à Seilles. Cette sculpture, toute en bronze, est haute de 3 mètres et pèse 1,5 tonne. Celle-ci fut placée par la Direction de lIntégration Paysagère et du Patrimoine du Ministère de lEquipement et des Transports et elle fut financée conjointement par la Région wallonne (MET), la Ville dAndenne et le mécénat de François Van Belle. Le projet de cette sculpture date de 2002 et sa réalisation aura nécessité un an de travail. Monsieur Noël est également lartiste qui a réalisé la sculpture de lenfant et de son ours visible depuis 2006 à côté du kiosque de la place des Tilleuls à Andenne.

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A hauteur du hameau de Reppe, vous trouverez léglise romane Saint-Martin. Située face à Andenelle, celle que lon appelle « chapelle » est en réalité lune des plus petites églises de Belgique. Dédiée à saint Martin, elle aurait été bâtie vers 1050 en grès houiller par les habitants. Léglise complète avec ses 3 nefs, son choeur et sa sacristie, a malheureusement perdu son bas-côté nord au milieu du 19 e siècle et ses fonts baptismaux romans (aujourdhui à léglise Saint-Pierre de Huy).